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Comment devient-on historien·ne ? En marge des réponses convenues à cette question, il en est deux (moins avouables ?) que les contributrices et contributeurs ont voulu apporter : la discipline présuppose d'une part une passion pour les bonnes histoires, et requiert d'autre part une certaine résistance à la frustration. « On ignore comment [Georges] Batault est arrivé à la Gazette de Lausanne ». « On ne sait quelles furent les discussions des administrateurs du journal ». Quand les sources se dérobent, il n'est pas permis d'inventer pour remplir les blancs.
Et pourtant... Depuis une dizaine d'années, de plus en plus d'études vantent les apports de la fiction en histoire et tordent le cou à cette frustration créative. Les récits contrefactuels, uchroniques et pastiches sont venus peupler les étagères des librairies, et leurs vertus méthodologiques sont largement reconnues. Aucun volume d'hommage n'avait encore franchi le pas d'un tel recours à l'imagination. Ce choix s'est rapidement imposé pour saluer le talent d'un historien qui aime les bonnes histoires et qui n'a pas son pareil pour les raconter. Puisant leur matière dans leurs propres recherches aussi bien que dans la longue liste de publications d'Alain Clavien, les autrices et auteurs ont expérimenté le caractère jubilatoire du jeu entre histoire et fiction.
« Ont-ils eu lieu ? ça n'est pas la question ; La perle de toute fable est le sens. »
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