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Si, en Mai 68, les salles de cinéma continuent de projeter des films comme si de rien n'était, quelques cinéastes et beaucoup de spectateurs se posent, loin du corporatisme de la " profession ", la question de la fonction sociale, politique et esthétique du cinéma.
Quel est le rapport du cinéma aux conceptions du monde qui lui sont extérieures, aux idéologies qui traversent et divisent la société ? Comment articuler politique et cinéma sur un autre mode que sur celui de la représentation ? Comment penser le travail cinématographique -qui relève aussi du jeu et du plaisir- dans sa relation avec l'exploitation du travail ? Comment la vie imaginaire peut-elle enrichir la vie réelle sans se substituer à elle ? Comment faire un cinéma qui ne participerait pas à la reproduction de la société que l'on refuse ? Quels moyens se donner pour que le cinéma devienne un des leviers de la transformation de la société ?
Le cinéma influencé par Mai 68 est pour l'essentiel un cinéma de l'après-coup et se construit tout au long des années 70.
On se propose ici d'en dégager les principales lignes de force et de présenter quelques démarches et trajectoires exemplaires. Non qu'elles soient nécessairement abouties mais parce qu'elles abordent frontalement les questions que l'on vient d'évoquer.
Ce livre propose au lecteur de renouer le fil interrompu d'une réflexion théorique et pratique toujours vivante et ouverte. Il s'adresse à un lecteur d'aujourd'hui et d'abord à celui qui ne se satisfait pas de la façon dont il vit dans la société où il vit.
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