Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
« Quand je t'ai retrouvée, morte, j'aurais dû te cracher à la figure », écrit l'autrice en parlant à sa mère.
Comme l'a écrit Élisabeth Badinter, l'amour maternel n'est en rien naturel. Pour Édith Reffet, l'autrice de «Ma mère», il n'est pas au rendez-vous. Dans ce récit, elle raconte son enfance et ses relations avec une mère, institutrice, qui commence par l'abandonner alors qu'elle n'a qu'un jour. C'est en ayant le courage de la fuir dès qu'elle a 20 ans qu'elle évitera d'être détruite par la diabolique énergie négative d'une mère qui finira par la déshériter après l'avoir déclarée morte à l'hôpital. Ce texte noir, qui fait penser à «Vipère au poing» d'Hervé Bazin, est servi de façon lumineuse et passionnante par la belle plume de l'autrice.
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Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...