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Les policiers du monde entier répartissent les criminels sur une échelle de 1 à 25, selon leur dangerosité. Un tueur échappe à cette classification, imprévisible il ne connaît aucune limite : c'est le « level 26 ». Un seul homme peut l'arrêter. Il s'appelle Steve Dark, et depuis que ce monstre a massacré sa famille, il s'est juré de cesser de traquer les psychopathes. Mais désormais, il n'a plus le choix.
Une vraie pépite en ce qui me concerne!
J'en avais lu certaines critiques. Elles oscillaient entre "c'est génial" et "c'est nul"! En bref, on aime ou on déteste mais rarement entre les 2..
Pour moi, c'est un grand "J'adore"! Il y a énormément de rythme dans ce thriller, les pages se tournent à une vitesse incroyable et j'ai été complètement happé par le récit de l'auteur. L'intrigue est bien ficelée malgré quelques clichés et je me suis totalement plongée dedans.
Bien entendu, je vais être obligée de lire les 2 suites (encore une augmentation de PAL!!!), mais pour moi, ça vaut le coup. Mes 2 seuls petits bémols sont les quelques clichés flagrants présents et le manque de développement des personnages. J'aimerai les connaître davantage.. Mais je suis ravie de cette lecture!
Un sacré premier tome!
Ici nous commençons par la traque d'un tueur en série et sadique par dessus le marché.
L'agent chargé de cette enquête est à deux doigts de l'avoir. A deux doigts...
Quelques années après, un meurtre est de nouveau commis et une vidéo est envoyée à la DAS,
c'est un service de département de la Justice qui traque les tueurs en série suivant les
catégorie allant de 1 à 25, sauf que notre tueur est de classe 26!
Tom Riggins est en charge de faire sortir de sa retraite l'agent Steve Dark qui avait traqué
notre tueur... sauf qu'il n'est pas très réceptif, et pour cause toute
sa famille à été décimée.
L'heure tourne et notre tueur fait de notre agent à la retraite sa cible et tous verront que
le compte à rebours à sonné.
Ici, le schéma classique du tueur qui veut jouer avec un agent à la retraite, sauf que
celui-ci est vraiment sadique et je dois dire que cela m'a donné des sueurs froides par moments.
Pour ce qui est des personnages, je me suis attachée à Sibby et pas aux autres et c'est
vraiment dommage. Seul le personnage du tueur est réellement travaillé, les autres sont
survolés. Pour ce qui est des crimes, je dois dire que tout est bien décrit à vous en faire
peur.Le vrai plus ce sont les vidéos disponibles sur internet, et je dois dire que ce sont
elles qui apportent le vrai frisson que je cherchais.
J'ai hâte de lire la suite, voir quel tueur ils vont devoir traquer.
J’ai toujours été passionnée par les romans policiers, une certaine fascination – un peu morbide, peut-être de quoi me faire interner dans un hôpital psychiatrique qui sais ^^ – pour les différents meurtriers, les bons sociopathes et psychopathes qui pullulent dans notre réalité ou imaginaire.
Il fut un temps où j’étais une fan de la série « Les experts » – oui, oui je sais, c’est une période bien révolue, datant même du siècle dernier vu ma vieille carcasse… Je dirais plutôt que c’était à une époque où seuls les experts de Las Vegas existaient, où Monsieur Horacio Caine et ses fameuses lunettes – suis-je la seule à vouloir lui faire bouffer ses lunettes ?!!Désolé je m’égare – n’étaient pas encore nés dans l’esprit du créateur et, que seul Grissom officiait en maitre de cérémonie.
De nature curieuse, c’est donc tout naturellement que je me suis tournée vers ce livre, vendu comme un roman policier révolutionnaire, écrit à la manière d’une série télé.
Il avait tout pour être un coup de cœur… Il m’avait été vivement conseillé. Doté d’une couverture plutôt sympathique et d’un résumé prometteur avec en plus un coté interactif que je trouve plutôt original.
Et pourtant on a frôlé le coup de cœur, parce que tout comme un épisode télévisuel qui dure 42 minutes, ce livre manque un peu de profondeur au niveau des personnages et souffre de petits clichés. Car le problème est bien là, ce livre fait trop série télé. – Peut-être ai-je trop vu et lu de séries policières… oui, je peux aussi plaider coupable –
Je m’explique – Attention ! Attention je risque de spoiler un peu! – le style de l’auteur est certes un peu simpliste mais efficace, ce qui rend l’histoire très prenante, vraiment intéressante. L’intrigue est bien ficelée, bien sadique –peut être digne de notre tueur Sqweegel – On a le droit à une bonne traque, on prend plaisir à suivre l’enquête du côté de Dark mais aussi le jeu de notre meurtrier. Vraiment on est tenu en haleine par les différents points de vue, par les crimes occasionnés par notre Level 26 d’ailleurs, certains sont vraiment originaux. Mais niveau personnage, surtout le héros…
Je n’ai vraiment pas trouvé Dark attachant, même si d’après l’auteur, Monsieur a tout pour l’être que cela soit par son côté torturé ou par son passé… bah la sauce n’a pas pris. J’ai vraiment trouvé que c’était cliché et ça manquait cruellement de profondeur.
Je ne sais pas mais peut être que plus de détail de sa vie passée aurait fait la différence. Ou l’idée de suivre sa déchéance face à sa première rencontre avec Sqweegel par exemple, alors qu’on nous offre qu’un petit paragraphe servant de résumé ... Puis, je suis désolé mais mon cerveau ne peut pas comprendre comment on peut être torturé en vivant dans une belle villa en bord de plage, avec une femme enceinte… Oui, oui je sais que pour les besoins de l’intrigue – tout comme dans une série ou dans un film– certains détails comme cela sont nécessaire pour l’histoire mais j’aurai préféré un alcoolique même si c’est tout aussi cliché j’avoue, mais ça colle pas vraiment avec l’image d’un homme torturé psychologiquement ^^
Par contre, pour notre tueur Level 26, j’ai été fascinée même si lui aussi souffre un peu des clichés – sérieusement en plus d’être un sadique, bien malsain et tout, ce qu’il fait dans sa cave en présence de ses vidéos c’était vraiment obligatoire ?! o_O – Il correspond bien à l’image qu’on peut se faire d’un Level 26, intriguant et insaisissable, faisant froid dans le dos rien qu’en l’imaginant chez soi.
Même ici, le personnage manque un peu de psychologie. L’auteur ne va pas au fond de l’histoire et on apprend finalement peu de chose sur lui. Je me suis même dit en rigolant « Je l’aurai bien invité à diner! ». C’est là que je doute de mon état mental légèrement instable… Juste pour qu’il puisse répondre à quelques questions, vu que l’auteur n’a pas voulu le faire à sa place, du genre ‘Pourquoi es-tu un tel psychopathe ? Des problèmes avec ta mère étant petit ? As-tu souffert d’un complexe d’Œdipe’ – j’avoue que cela aurait fait tout aussi cliché ^^ – Je lui aurai bien demandé pourquoi l’auteur a voulu nous préciser ton petit rituel de préparation avec ta fameuse combinaison de latex parce que faut quand même avoir un sacré recul sur la vie pour avoir une envie si particulière de se raser à des endroits aussi improbables – ok c’est de ma faute, je n’ai jamais pensé être identifié avec de tel poils ! Quoique l’ADN est partout !!! – mais surtout ‘Peux-tu m’apprendre à te déplacer comme toi !’
Quant à l’aspect interactif ? Les images en noir et blanc rendent un peu plus glauque la lecture mais ce n’est pas désagréable, ça colle parfaitement à l’univers que l’auteur instaure. Je ne sais pas vraiment quoi penser des vidéos, certes elles peuvent être parfois un plus pour la lecture mais elles ne sont pas vraiment nécessaire. J’ai trouvé ça bien sympathique mais pas transcendant, peut-être que cela est dû à leur qualité.
Donc voilà, pour résumer Level 26 Dark Origins peut être un très bon roman policier si on le prend tel qu’il est c’est-à-dire, un épisode de série télévisée adapté en format livre, ou bien un livre angoissant qui peut te persuader que le tueur est sous ton lit ou dans tes placards. Et oui si on a souvent le droit à des adaptations d’œuvres littéraires à la télé ou au cinéma alors, pourquoi ne pas tenter l’inverse ! Défi assez bien relevé pour ma part, j’y ai passé finalement un bon moment. Je vous le conseille !
On connait tous les Experts. Mais là on suit un des meilleurs agents de Quantico, cellule de profilage du FBI. On suit un dangereux psychopathe classé au Level 26 dans l'échelle de risque des services fédéraux, niveau inconnu des civils puisqu'il comprend les hommes capables des pires immondices. Moi qui suis une grande trouillarde je n'ai pas pu lâcher le livre, il fallait que j'aille jusqu'au bout, vous savez jusqu'à ce happy end qu'on espère tous. Mais malgré une fin classique je n'en suis pas ressortie sans séquelles, certaines scènes sont telles que l'on se demande même comment quelqu'un à pu écrire une chose pareil. C'est ce que l'on recherche en général dans un livre, vivre à 100% une histoire hors du commun, ce livre m'a convaincue que j'étais une grande sensible et que le polar très peu pour moi lorsqu'il est "gore". Fans de Polar je vous le conseille !! Âmes sensibles s'abstenir !
Les criminels sont classés par niveau. Il existe vingt cinq niveaux. Un assassin plus féroce et plus vicieux que les autres oeuvre depuis trente ans sans avoir jamais laissé un seul indice. Un vingt sixi ème niveau a été créé pour lui spécialement. Seul Steve Dark, un agent, a pu s'approcher de lui jusqu'à presque le toucher et enfin l'arrêter. Mais le tueur s'en est pris à sa famille. Dark a démissionné, et a tenté de le rattraper, sans succès.
Quelques années plus tard, Dark est marié et attend un bébé. Mais le tueur n'en a pas fini avec lui. Il tue pour que la traque reprenne.
Le roman est écrit par un scénariste d'une série qui a rencontré un succès énorme autant chez nous que sur le sol américain. Autant dire immédiatement que la trame est efficace, l'écriture fluide permet d'avancer rapidement et que les chapitres, ni trop longs, ni trop courts, permettent au lecteur de s'imprégner suffisamment avant de passer sur un autre plan et d'autres personnages, distillant ainsi le suspense par petites doses, obligeant la lecture des chapitres suivants.
Ce genre de découpage est, bien réalisé comme dans le roman présent, permet à l'auteur d'amener le lecteur du début jusqu'au dénouement rapidement et avec une sensation de satiété.
Mais ce roman n'est pas dépourvu de défauts. Premièrement, nous nous confrontons au stéréotype de l'enquêteur américain (qui penche la tête en parlant), passionné de son boulot, divorcé deux fois, ou encore renfermé, introverti, ne donnant le meilleur de lui-même que sur les cas les plus extrêmes. Vous regardez la série, vous lirez le roman, c'est du pareil au même. Les personnages principaux sont assez creux, ne parlons pas des personnages secondaires, qui font plus de la figuration qu'autre chose.
L'histoire est assez pauvre, il faut tout de même attendre la moitié du roman pour que ça commence à se décanter, un peu comme la série. Et maintenant, cassons un peu le mythe du tueur intelligent et prévoyant, que vous trouverez aussi dans Seven, les meurtriers n'agissent que sous une pulsion, ils ne peuvent prévoir leurs meurtres plusieurs mois à l'avance.
Enfin, un atout que le roman veut se targuer, c'est le lien avec la vidéo que vous pourrez trouver sur le web. Sur le principe, c'est très bien, mais en pratique, c'est nul. La lecture d'un roman ne se fait pas systématiquement à proximité d'un accès internet, alors comment faire ? Revenir dessus quelques heures plus tard quand le moment est passé ! Plus aucun intérêt.
En somme, beaucoup de tapage pour ce Level 26, qui finalement ne vaut pas grand chose.
un thriller = un tueur , ici nous avons un tueur sans état d'âme et très cruel,je dirai "sans vie" ce livre est une folie
Une nouvelle façon de concevoir le livre ! Un bon moment. Déconseillé aux âmes sensibles
LE polar de 2010! Originalité: lien vers internet pour visionner ce que vous venez de lire, mais en... mieux! J'ai attendu à peu près la moitié du roman pour faire ça et ce n'est pas nécessaire tout le temps... A vous de voir!
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