Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Phillipe Le Guillou revient au Faou, village de sa naissance, lieu fondateur, celui de son adolescence nourrie de l'affection de ses parents et grands-parents, dans une Bretagne catholique et rurale que la modernité pompidolienne engloutit La madeleine de Philippe Le Guillou a un goûte de millefeuille. Celui qu'il goûtait au repas dominical chez ses grands-parents au Faou, le village qui l'a vu naître. Son lieu d'élection, celui de son imaginaire, entre forêt de Brocéliande et ville d'Ys.
Après Les marées du Faou, publié en 2003 chez Gallimard, dans Les grandes marées du Faou l'auteur revient sur le lieu fondateur ; sur l'enfance et l'adolescence formatrices nourries de l'affection de ses parents et grands-parents dans une Bretagne catholique et rurale que la modernité engloutit. Celle des années Pompidou, des étranges lucarnes, des routes à quatre voies et du remembrement agraire.
Henri Kerisit peintre né au Faou vingt ans avant Philippe Le Guillou a vu, lui, le port fréquenté par les petits caboteurs, qui parfois débarquqaient encore les pèlerins au pardon voisin de Rumengol, par les gabares sablières, dont il nous laisse les images.
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Taïna, indienne des Caraïbes, a été instruite dès son enfance pour devenir chamane, mais Christophe Colomb et les Espagnols arrivent...
Une belle adaptation, réalisée par un duo espagnol, d'un des romans fondateurs de la science-fiction, accessible dès 12 ans.
Merci à toutes et à tous pour cette aventure collective
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