Palmarès les 100 meilleurs livres de l'année 2023 du magazine Lire.Prix des lecteurs Babelio 2023 - Catégorie littérature française. Si tu te demandes ce que nous faisons ainsi, loin des hommes, je vais te dire : nous veillons sur notre petit univers, nous veillons les unes sur les autres. C'est ce que font les femmes du bout du monde. À la pointe sud de la Nouvelle-Zélande, dans la région isolée des Catlins, au coeur d'une nature sauvage, vivent Autumn et sa fille Milly. Sur ce dernier bastion de terre avant l'océan Austral et le pôle Sud, elles gèrent le camping Mutunga o te ao, le bout du monde en maori. Autumn et Milly forment un duo inséparable, jusqu'au jour où débarque Flore, une jeune parisienne en quête de rédemption... Hantées par le passé mais bercées par les vents et les légendes maories, ces trois femmes apprendront à se connaître, se pardonner et s'aimer. Mélissa Da Costa - autrice la plus lue en France en 2023 - nous offre un voyage inoubliable à travers des paysages d'une stupéfiante beauté, aux côtés de personnages inspirés et inspirants. Un nouveau roman magistral et une ode à la liberté.
Histoire moins triste que les autres romans de M Da Costa
C'est un envol, une renaissance
le livre se lit tellement facilement ! bravo pour l'écriture
Dépaysée , certes , par la description du lieu du roman ; un camping dans une nature sauvage , au bout du monde de la nouvelle Zélande mais moins emballée par ce roman que les autres de cette auteure lus précédemment ayant eu un vrai coup de cœur pour " tout le bleu du ciel "
Les protagonistes Autumn , sa fille Milly et Flore n'en sont pas moins attachantes .
Des femmes fortes en tout cas , chacune avec sa sensibilité .
Un roman sensible donc dans lequel on y parle d'amitié , d'amour , de liens filiaux ;
Slot point, nugget point, curio bay, hongi : quelle bonne cuisine ! Est-ce que vous connaissez ces noms ?
Je ne m'attendais pas à être embarquée aussi facilement au bout du monde, dans ce camping des Catlins tenu par Milly et Autumn en Nouvelle Zélande en face de l'océan Austral, aux côtés de Flore. Elle débarque de Paris, dans ce lieu loin de tout avec une culpabilité énorme. Une backpackers, comme les appellent les locaux. Une kiwi au pays des maoris, leurs us et coutumes et leurs légendes. L’histoire va à la rencontre de vrais maoris, comme le voisin Anaru et sa famille dont Kai, le fils qui va se marier et ami d'enfance de Milly.
voilà c'est une histoire de reconstruction, où chaque femme a besoin de retrouver l'apaisement, de pardonner, un peu de nouveautés et, pour Flore de s'adapter aussi à un nouvel environnement que j'ai pris plaisir à découvrir.
Mélissa Da costa prend le temps de nous raconter ses personnages, leurs situations, les lieux..
On lui pardonnera certains clichés un peu tendance (homosexualité féminine, écologie…) pour se laisser porter par une histoire qui fait du bien.
L'histoire personnelle de Flore est un peu spéciale, un peu mélodramatique, mais j'ai réussi à passer outre, c'est un bon prétexte qui permet d'aborder d'autres sujets, entre la famille, les valeurs du mariage, etc. plutôt intéressants
C’est par ce premier livre que j’entame ma découverte de Mélissa Da Costa, et je lui dis un grand merci ! Un grand merci pour toutes les émotions que cette lecture a suscitées et un grand merci pour le grand bol d’air dépaysant dont je me suis rassasiée. J’ai adoré me retrouver aux côtés de ces « femmes du bout du monde », dans ce camping de Nouvelle-Zélande sur l’ile sud. Les personnages féminins Milly, Autumn et Flore que l’on apprend à connaître au fil de ce magnifique roman sont tellement fortes et fragiles à la fois! Leurs vies sont rudes mais tellement riches de joies simples, comme celles de pouvoir assister aux spectacles merveilleux que leur offre leur environnement ( avec dans le désordre, les « yellow eyed pingouins » les fameux manchots aux yeux jaunes, les otaries , les dauphins, les oiseaux…) . Flore trouvera-t-elle auprès de Milly et d’Autumn la rédemption qu’elle est venue chercher si loin? Lisez ce très beau livre et vous saurez …
Certes, l'histoire qui se passe en Nouvelle Zélande est dépaysante mais Mélissa Da Costa nous avait habitués à mieux, selon mon point de vue.
Le roman du genre feel Good est un enchevêtrement et une accumulation de thèmes trop à la mode: la rédemption, la résilience, le féminisme, la protection de la nature, le pardon.Ces approches semblent documentées en ce qui concerne la nature et les Maoris façon Wikipedia.
Toutefois le lecteur va jusqu'au bout pour connaître le dénouement de l'intrigue support.
Et le début de l'histoire?
Flore une Parisienne écrasée par le poids du de la culpabilité arrive en renfort dans un camping du sud de la Nouvelle Zélande, camping tenu par Autumn , veuve, et sa fille Milly.
Pourquoi Fliore a t elle quitté Paris? Quelle faute a-t-elle commise?Comment les femmes vont-elles cohabiter dans cette solitude alors que Milly est ébranlée par le mariage de Kai ?
J'ai beaucoup aimé ce roman vraiment dépaysant et original dont l'action se passe en Nouvelle Zélande. L'auteur a réussi à nous faire voyager, les descriptions données sont très belles. Je me suis attachée très vite au personnage principal de Flore, Melissa da Costa est parvenue à nous raconter son histoire sans susciter les critiques du lecteur alors que le comportement de Flore pourrait prêter aux jugements. Les chapitres se lisent vraiment avec plaisir et facilité et j'ai ressenti ici beaucoup d'émotions comme dans les premiers romans de cette auteur.
Au fur et à mesure de mes lectures, chaque roman de Mélissa Da Costa a été une véritable surprise, et “Les Femmes du bout du monde” n'échappe pas à cette règle…
Mélissa a le don d’écrire des histoires qui sont dures et pourtant douces à la fois.
Autumn et Milly, sa fille, vivent à la pointe de la Nouvelle-Zélande, en face du pôle Sud. Ensembles, elles s'occupent d'un camping, au cœur d'une nature sauvage et encore préservée. Un jour Flore, une jeune Parisienne, débarque au camping et demande à Autumn, si elles ont besoin de bras supplémentaires pour gérer les tâches quotidiennes. Elle veut oublier sa vie à Paris et à vraiment besoin de faire le vide dans sa tête. Autumn accepte la proposition, sachant bien que la frêle femme ne tiendra pas longtemps à cause du climat très particulier de l'endroit, et comme les autres avant elle, finira par quitter ce nouveau travail. Mais Flore va lutter, elle a décidé de tout quitter pour partir très loin afin de fuir sa vie qui la faisait souffrir. Petit à petit, elle apprend à connaître les deux femmes, et ensemble finissent par s'apprivoiser…
Le travail au camping n'est pas désagréable du tout. Il est dur, fatiguant, mais elles s'entraident régulièrement.
Une nouvelle amitié va naître entre Flore et Milly une jeune fille innocente, pure et forte à la fois. Une amitié qui va très vite se transformer…
J'ai passé un excellent moment en compagnie de ces trois femmes auxquelles je me suis très vite attaché. Elles mènent une vie belle et simple au plus près de la nature. Mélissa nous fait découvrir des paysages sublimes de Nouvelle-Zélande, divers mammifères marins, des arbres couchés à cause de violentes bourrasques, de sublimes couchers de soleil, la mer jusqu'au bout de l'horizon et surtout la vie et les mœurs des Maoris. Une vraie découverte pour moi !
Tout est douceur et naturel. Une histoire simple et complexe à la fois. La vie n'a pas fait de cadeau à Flore. Milly qui apprend que son amour d'enfance et meilleur ami va se marier et quitter la région. Autumn qui élève seule sa fille malgré les blessures qu'elle doit soigner depuis le décès de Dan, son mari. Chacune d'elles lutte dans son quotidien.
C'est un roman qui m'a donné une envie de liberté et de contrées sauvages. Il y a beaucoup d'émotions, je me suis laissé envahir par ce récit très bien construit qui transforme la peine et la douleur en amour et en beauté.
Un septième roman magistral, à ne surtout pas manquer.
Quel plaisir d’emmener Mélissa avec moi en vacances.
Elle signe son sixième roman et nous offre un voyage délicieux et une belle leçon de vie.
Voyage, évasion, reconstruction.
En fuyant Paris, Flore abîmée par la vie décide de partir à l’autre bout du monde, à la pointe sud de la Nouvelle-Zélande, au cœur d’une nature sauvage. Là-bas, elle rencontre Autumn et sa fille Milly, propriétaires d’un camping Mutunga o te ao, qui signifie le bout du monde en maori. Flore va tenter de laisser ses démons et sa culpabilité derrière elle.
Quel lien va unir ces trois femmes ?
Mélissa nous entraîne dans un sublime voyage avec un décor magnifique aux côtés de trois femmes cabossées qui vont se reconstruire en pleine nature.
Dès le début, je me suis accrochée à ces trois femmes fortes qui vont s’apprivoiser au fil des pages. Elles vont faire la paix avec elle-même.
Cette histoire démarre lentement, car évidemment qu’il y a des longueurs, néanmoins c’est ce qui apporte une touche magique et un zeste de profondeur à cette jolie histoire.
Ce roman est une bulle de douceur. Trois portraits de femmes indépendantes et puissantes. Trois histoires et trois destins.
Des descriptions exotiques et des paysages à couper le souffle. Quant à la plume de Mélissa, elle est sublime et d’une telle finesse que le lecteur ne décroche pas.
J’ai été subjuguée, touchée et envoûtée. Les thématiques sont fortes et je me suis attachée à ces trois héroïnes.
C’est un joli condensé d’émotions.
Ce roman est une ode à la femme, à la nature, à la résilience et à la reconstruction.
Une fois de plus, Mélissa a su toucher mon cœur de lectrice !
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