Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
En écrivant Les Belles Infidèles il y a plus de soixante ans, Georges Mounin a voulu proposer, selon ses propres termes, « une défense et illustration de l'art de traduire ». Il a su réaliser son projet avec une rigueur de démonstration peu commune, une documentation historique exemplaire et, par-dessus tout, une vision magistrale de la traduction. Non seulement cette vision envisage tous les aspects fondamentaux de la traduction, mais elle réussit à faire converger différents points de vue vers la solution des problèmes : celui du philologue, de l'historien et du linguiste, comme celui des traducteurs eux-mêmes et celui des théoriciens de la traduction. « Il ne s'agit pas de démontrer que la traduction soit facile, ni toujours à tout coup possible et parfaite du premier coup. Ce serait déjà beau d'avoir combattu cette maladie qui paralyse les traducteurs eux-mêmes avant d'avoir commencé leur tâche : la conviction séculaire qu'ils entreprennent une tâche théoriquement impossible », écrivait l'auteur.
Cet ouvrage constitue une réédition d'un grand classique de la traductologie.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Chacune des deux demeures dont il sera question est représentée dans le sablier et le lecteur sait d'entrée de jeu qu'il faudra retourner le livre pour découvrir la vérité. Pour comprendre l'enquête menée en 1939, on a besoin de se référer aux indices présents dans la première histoire... un véritable puzzle, d'un incroyable tour de force
Sanche, chanteur du groupe Planète Bolingo, a pris la plume pour raconter son expérience en tant qu’humanitaire...
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !