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En février 2018, le Ashmolean Museum d'Oxford offre à Emmanuel Guibert l'occasion unique de manipuler des originaux de Turner, Sargent, Degas, Delacroix ou Le Pérugin.
Une expérience en gants blancs qui pousse le dessinateur à questionner son rapport à l'art et à reconsidérer le rituel qui le pousse à dessiner dans les musées. "Nul ne peut voir sans explorer" disait Arthur Koestler et c'est sur ce credo que l'artiste ouvre le premier tome de ses "Légendes", ornant de commentaires une compilation de croquis et dessins réalisés depuis le début des années 1990, au gré de ses pérégrinations dans les musées et autres lieux de cultes. Avec malice, ce catalogue annoté livre confessions et anecdotes. Elles rendent hommage à ceux qui l'ont inspiré, depuis son ancien prof d'histoire de l'art aux Arts Décoratifs jusqu'à Delacroix, après un détour chez Gustave Moreau et les peintres flamands, de Brueghel à Rembrandt. Il déniche même au Rijksmuseum les ancêtres de Tintin ou du Capitaine Haddock. Une profession de foi pimentée d'un humour espiègle et de considérations irrésistibles.
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