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Bouleversant et lumineux.
Le nouveau roman de Claire Norton, l'auteure qui a bouleversé 300 000 lecteurs.
" À tous nos grands-parents qui nous ont tant de fois rebattu les oreilles de :
''Tu verras, quand tu seras grand(e) ...'', ''Tu verras, quand tu auras mon âge...'', et dont les paroles prennent de plus en plus de sens au fur et à mesure que nous marchons dans leurs pas... " Claire Norton Rien n'aurait dû réunir Auguste, quatre-vingt-cinq ans, et Philomène, quinze ans.
Pourtant, la quête que le vieil homme et la jeune fille vont entreprendre ensemble et loin de chez eux se révélera le plus précieux cadeau que la vie pouvait leur réserver, à l'un comme à l'autre.
Prix Solidarité Harmonie Mutuelle 2022
Assise sur un banc, Philomène, quinze ans, penses avec désespoir et incompréhension à la mort de sa mère dans un accident de voiture.
A côté d'elle, Alphonse, 85 ans, songe à sa fin de vie. Il est atteint d'un cancer inguérissable.
Entre ces deux là, qui ne se connaissent pas ; va se lier une profonde amitié, une étrange histoire et une aventure de huit jours complètement inattendue.
Un beau roman sur les relations intergénérationnelles.
La transmission, la maladie, le cancer, le deuil, le courage........ beaucoup de sujets évoqués.
Les personnages sont touchants et leurs parcours respectifs émouvants.
L'écriture est simple, fluide, entraînante, et au fil des pages, on a hâte de connaître la suite.
Des pages, il y en a plus de 400, mais jamais on ne ressent de lassitude.
"Celle que je suis" m’avait énormément touchée. J’abordais par conséquent cette nouvelle lecture de Claire Norton avec envie et plaisir.
Et autant vous prévenir tout de suite, je n’ai pas été déçue. C’est une nouvelle fois une histoire baignée d’humanité et de bienveillance au cœur d’évènements tragiques que j’ai pu découvrir dans Le Sens de nos pas. Il y est question de la mort, choisie ou non, et surtout de la vie et de ce que l’on en fait.
Si la rencontre fortuite entre Auguste, 85 ans, et Philomène, 15 ans, ne démarre pas sous les meilleurs hospices, elle devient au fil des pages une merveille de lien social et quasiment familial. C’est merveilleux à lire et on s’attache beaucoup à ces personnages traversés tous deux par un drame. Quand le recul, l’expérience et la sagesse d’Auguste profitent à Philomène qui vient de perdre sa mère dans un accident de voiture, la spontanéité et la sincérité de l’adolescente embellissent clairement les tristes hivers de ce papy en proie à la nostalgie après la perte de sa femme mais aussi face à une annonce terrible…
Le périple des deux acolytes et les rebondissements au fil des chapitres rythment de belle manière la lecture qui est tour à tour touchante, attendrissante, triste, pleine d’espoir, de suspense, d’amour, d’amitié, de solidarité. La compréhension de l’autre, le respect des choix de chacun, le soutien face aux épreuves de la vie sont au cœur de ce récit vrai qui aborde des thématiques aussi difficiles qu’essentielles. Mais avant tout, ce roman délivre un message universel : « Aime ! Aime à en perdre la raison et le souffle ! ». Car la vie vaut-elle la peine d’être vécue sans amour ?
En bref, c’est un roman que je vous recommande chaudement, il vous fera passer par un panel d’émotions et vous gonflera le cœur. Si les sujets développés sont en partie sérieux et difficiles, l’écriture lumineuse et poétique de l’autrice permet au récit d’exploser de gentillesse et de bienveillance. Un boost d’humanité à savourer au plus vite !
Sur mon blog : https://ducalmelucette.wordpress.com/2023/11/29/lecture-le-sens-de-nos-pas-de-claire-norton/
BOULEVERSANT … TROUBLANT … POIGNANT …
On ne ressort pas indemne de cette lecture de @Claire Norton … J’ai découvert cette auteure par hasard … en fouinant dans les rayons de ma petite librairie préférée, à Morestel… J’ai lu la quatrième de couverture … et ce lien intergénérationnel évoqué m’a plu immédiatement …
Dévoré en 3 jours … j’en suis encore toute « tourneboulée »… et vraiment ravie d’être tombée par hasard sur ce roman.
Résumé : C’est l’histoire d’Auguste, un vieux Monsieur de 85 ans qui a perdu l’amour de sa vie et qui se retrouve contraint de vivre avec son fils et son « adorable » belle fille. Pour échapper aux silences de son fils et aux remarques désagréables de sa Brue, il aime rejoindre « son » banc dans le parc du Vésinet et « parler » à sa défunte Jeanne… Mais un jour, Philomène, 15 ans s’installe à l’autre bout de « son » banc… Elle vient de perdre sa mère dans un tragique accident et elle cherche quelqu’un à qui parler … Ils s’apprivoisent et décident de fuguer tous les deux … Lui, pour « réparer » ses erreurs du passé et « organiser » la fin de sa vie … Elle, pour trouver la vérité sur la mort de sa mère…
Avis : Vous l’aurez compris, j’ai été bouleversée par ce livre … Il est si bien écrit et il aborde un sujet délicat … qui fait toujours débat de nos jours … Faut-il ou non légaliser l’euthanasie ? Comme le souligne l’auteure à travers le récit d’Auguste, « chaque point de vue est respectable » et « aucun point de vue ne pourra être établi sur le sujet ». J’ai particulièrement apprécié les liens qui se tissent tout au long du roman entre ces deux générations … Auguste « le sage » et Philomène « la fougueuse ».
Claire m’a touchée en plein cœur avec la délicatesse de sa plume et la puissance de ses mots… C’est un roman qu’on devrait tous lire un jour pour se « recentrer » sur la réalité de nos vies… « Je n’ai qu’un regret … m’être souvent fait un sang d’encre pour des broutilles qui n’en valaient pas la peine … Pour des choses qui ne se sont jamais produites alors que je les redoutais, ou pour d’autres sur lesquelles je n’avais de tout manière aucun pouvoir d’agir. Mais de cela on se rend compte bien trop tard… »
« Surtout, prends soin des personnes qui comptent pour toi, mon phénomène. Sans le vouloir, on les néglige souvent. On les fait passer après bien des urgences qui n’en sont pas. C’est une erreur dont on ne prend conscience que trop tard …»
Un coup de pied qui permet d'écouter, de jouir des sens de notre histoire. Un livre très beau sur un parcours tendre entre une jeune adolescente et un homme âgé. Très grande expression de sentiments, de questionnements sur nos rapports à l'autre et enfin la fin de vie. Une leçon de tendresse.
Claire Norton nous raconte dans « le sens de nos pas » la rencontre peu ordinaire entre un sénior et une adolescente que 70 ans séparent. Cette rencontre va changer leur vie à tous les deux, mais également celle des personnes qu’ils vont croiser au cours de leur périple.
D’abord il y a Auguste, 85 ans au compteur, veuf inconsolable, en phase terminale d’un cancer. Simon, son fils unique de qui il était très proche enfant, s’est éloigné irrémédiablement et ne se préoccupe que peu de son père. Il vient de réintégrer la maison familiale de Saint-Germain avec son adolescent mutique et son épouse à qui il délègue tout, même le fait de vouloir placer « le vieux » en Ehpad. Parmi sa famille, Auguste se sent pourtant encore plus seul qu’avant, démuni de sa maison, de son jardin, de sa liberté et de sa tranquillité.
Et puis il y a Philomène, surnommée « Mon Phénomène » par Auguste, adolescente de 15 ans, perdue, orpheline de mère à la suite d’un accident de voiture mortelle. Sa douleur est immense au point de vouloir absolument comprendre comment sa mère est morte, ce qu’il s’est réellement passé : accident ou suicide, voir le lieu du drame pour essayer d’accepter l’inéluctable. Elle n’arrive pas à communiquer avec son père que ce drame a aussi rendu solitaire.
De prime abord, rien ne devait mettre en présence ces deux êtres, si ce n’est un lieu d’habitation proche et un banc dans un parc voisin. L’aventure peut commencer. Voilà le pitch de départ de Claire Norton, le rapprochement de la jeunesse et de la vieillesse, pour le plus grand bien des deux. Ils vont se découvrir, apprendre l’un de l’autre, et un lien très fort, indéfectible, va les unir à jamais, au-delà de la mort.
Claire Norton a l’art de croquer ses personnages avec minutie et humour, et de nous faire entrer dans leur tête. C’est aussi vrai pour les personnages principaux que pour les secondaires comme Benoit, le père de Philomène, ou encore Aurore, la dernière personne à avoir parler à sa mère sur le lieu de l’accident.
Dans ce nouveau roman où on retrouve avec bonheur la verve et l’écriture fluide et coulante de l’autrice, Claire Norton aborde encore une fois des sujets d’actualité brûlants comme la fin de vie assistée, l’euthanasie, la mort prématurée d’un parent. Ca parle d’amour filial, d’amour avec un grand A, d’adultère, de la famille, d’amitié, de rapport parent/enfant, de la transmission, de la reconnaissance, de la place des jeunes et des vieux dans notre société, de l’effet du confinement. Toujours avec émotion, parfois sur le fil du rasoir, avec douceur ou violence dans certains propos attribués, Claire Norton nous amène à réfléchir, comme toujours dans ses romans qui ne sont jamais neutres, dont le fond se mélange avec la forme. Il y a de belles pages sur le courage, sur les premières fois, sur les regrets, et une superbe lettre d’adieu d’Auguste à son fils Simon, pleine de vérités, l’émotion est à fleur de peau, il est difficile de retenir ses larmes, on est touché !
Bravo pour ce dernier roman qui rejoint les précédents dans mon cœur, et merci Claire Norton de nous provoquer autant d’émois à chaque fois.
J’ai découvert Claire Norton il y a quelques années avec Malgré nous… que j’avais fortement apprécié. Je suis ravie d’avoir poursuivi cette rencontre avec Le sens de nos pas. Dans ce roman, nous découvrons Auguste, un vieux monsieur veuf, solitaire et assez malheureux ainsi que Philomène, une adolescente dont la mère vient de mourir. Ces deux personnages qui n’ont rien en commun vont bien entendu se rencontrer. Et si la différence d’âge est importante, ils ont bien plus de points communs qu’ils ne le pensent. Philomène a un objectif : découvrir ce qui a réellement causé le décès de sa mère. Auguste lui, aimerait profiter de sa (fin de) vie, faire ce qu’il n’a jamais osé faire auparavant et fuir son quotidien. J’ai adoré ce duo détonnant et surprenant. Nos deux personnages sont très attachants et vont faire des rencontres qui vont bouleverser le sens de leur vie. Les personnages secondaires m’ont, eux aussi, beaucoup plu et apportent un vrai plus à l’histoire. Claire Norton nous offre une belle histoire, riche en émotions.
Je n'avais encore jamais lu Claire Norton et j'ai beaucoup aimé cette histoire de rencontre improbable entre Auguste, 85 ans et Philomène, 15 ans.
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Il est à la fin de sa vie, une vie qu'il a aimée passionnément lorsqu'il la partageait avec Jeanne, son âme sœur. Depuis sa mort il continue d'en chérir tous les souvenirs heureux mais son fils unique, indifférent, qui avait fui lors de la maladie de sa mère est revenu s'installer chez lui avec sa femme égoïste et son petit-fils. Auguste va prendre une décision importante pour le reste de ses jours.
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Elle a perdu le goût de vivre à la mort brutale de sa mère deux mois auparavant. Des bribes de conversation saisies au vol jettent un doute impossible dans son esprit et l'amène à vouloir trouver des réponses par elle-même. Son père accablé par son propre chagrin est incapable de réaliser à quel point sa fille est en train de sombrer. Elle a rencontré Auguste sur son banc au parc et compris qu'il s'apprêtait à partir. Germe alors l'idée folle de le suivre et de lui demander de l'aider.
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J'ai terriblement aimé ces deux personnages principaux si attachants.
Auguste, comment ne pas aimer cet homme ? Accablé par une solitude d'autant plus inimaginable qu'en apparence il n'est pas isolé, avec des réserves d'amour qu'il ne demande qu'à partager, il va en maugréant pour la forme, trouver en la personne de Philomène dont il a perçu l'immense détresse, quelqu'un à aider, à consoler, à qui transmettre des valeurs et l'art précieux de l'origami dans lequel il excelle.
Philomène, comment ne pas aimer cette ado ? Fine, futée, sensible, intelligente, elle a vite perçu la souffrance du vieil homme et en le traitant normalement sans l'infantiliser comme on a trop tendance à faire avec une personne âgée , elle lui redonne une dignité qu'on lui refuse dans sa propre famille.
Tous deux vont vivre des choses fortes qui les marqueront profondément et les aideront, lui, à aller apaisé vers la fin de sa vie et elle, à retrouver l'appétit de vie qui l'avait quittée grâce à ce qu'Auguste lui transmet.
Il y a d'autres personnages et des micro histoires à l'intérieur de cette histoire. Dont certaines, à mon sens et cela n'engage que moi, n'étaient pas forcément nécessaires. C'est presque trop... C'est le seul bémol que je mettrais à ce roman qui par ailleurs m'a complètement embarquée grâce à une plume fluide, un sens de la formule, une psychologie des personnages très juste. J'ai vraiment adoré la jolie relation entre le vieil homme et l'ado. La fin est tout simplement magnifique et émouvante. Oui assurément je relirai cette autrice !
Je remercie la masse critique de Babelio ainsi que Claire Norton et Robert Laffont.
ATTENTION : Mega mega mega coup de coeur!!!
C'est le 1 er roman que je lis de Claire, et je me demande pourquoi j'en jamais lu.....quelle grave erreur.
Auguste, 85 printemps, veuf a pour habitude de se rendre sur son banc tous les jours, comme il faisait avec sa femme avant que celle-ci décède.
Un après-midi, il est complètement abattu: son fils et sa belle fille veulent le mettre en maison de retraite et il est atteint d'une maladie incurable.
A l'autre bout du banc, Philomène, jeune fille de 15 ans, est dévastée par le décès récent de sa mère...
La seule solution pour ces 2 orphelins de l'amour est de fuir! Mais Augusrte ne veut pas s'encombrer d'une jeune ado...
Or ce périple à 2 va se révéler être le plus cadeau que ma vie pouvait leur offrir.
De nombreux aventures vont jalonner cette lecture.
Nous sommes tous confrontés à la vieillesse, au corps qui décline et cette idée n'est pas toujours bien acceptée.
A travers le personnage d Auguste (1 papy en OR), Claire Norton nous montre l appropriation de cette d'échéance progressive.
Ce livre est très fortement imprégné d intergenerationnel! Quelle belle valeur de promouvoir la transmission des savoirs,des souvenirs aux plus jeunes.. ils n'en seront que plus riches.
J'ai adoré la relation entre ces 2 opposés, où les échanges vont se faire dans les deux sens.
Auguste transmet sa sagesse, sa passion pour l origami... Philomène lui enseigne la folie douce, la technologie moderne..
Ce roman est également très résilient, nous montre l'importance de partir en paix avec soi-même, et que cela nécessite parfois de s excuser, de reconnaître ses erreurs..
Enfin, autre grand thème de ce livre est le voile soulève sur la fin de vie assistée.
Il nous pousse à la réflexion sur ce débat quelque peu tabou dans notre société. Quel regard portons nous sur cette douloureuse question???
La plume de Claire est si belle, drôle par moment, très touchante, pleine de poésie, de douceur..
J'ai adoré cette très belle histoire qui est comme 1 doudou tout doux...
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