Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
" Avec Le Sang du Renard, Minette Walters est au sommet de son assurance et de son talent.
", The Times. Par une glaciale nuit d'hiver, Ailsa Jolly-Renard est retrouvée morte sur sa terrasse, à moitié nue. Mort naturelle, conclut le Coroner. Ce n'est pas l'avis de certaines habitantes de Shenstead, petit village du Dorset, persuadées que son mari, le colonel Jolly-Renard, l'a assassinée. A l'origine de ces rumeurs, un sombre secret de famille... Le plus troublant : le Colonel semble déterminé à ne pas se défendre.
Pourquoi, s'il est innocent ? Dans la meilleure tradition du roman policier anglais, une intrigue subtile qui explore les recoins les plus obscurs de l'âme humaine, une rare acuité psychologique, un suspense implacable.
Il est des livres qu’on voudrait ne jamais refermer et il y en a d’autres dont on se demande quand finira-t-il enfin.
Le sang du renard fait partie de la deuxième catégorie. Dix fois j’ai failli abandonner.
C’est tiré par les cheveux, les dialogues ne sont pas très crédibles, les situations approximatives, pas toujours plausibles.
Pourquoi j’ai continué ? Parce que je voulais savoir qui était Renard qui avait tué la colonelle Jolly-Renard, qui était le père de Nancy…… ;
Mais ces 427 pages de mauvaise écriture, qu’est-ce que ça a pu être pénible !
J’avais déjà lu deux policiers de Minette Walters, plus anciens et qui étaient nettement meilleurs. Mais là, franchement, elle a fait du grand n’importe quoi et n’a pas du prendre la peine de retravailler son roman.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
Un véritable puzzle et un incroyable tour de force !