Les bédéphiles de SambaBD ont tranché et partagent avec vous leurs albums incontournables de l'année
Raconter René Goscinny en bande dessinée. Et lui donner la parole, au fond, pour la première fois. Tel est le projet de cet album exceptionnel. Un événement artistique. Et un livre de tendre amitié.
Catel, célèbre dessinatrice, travaille depuis quatre ans, avec l'appui et l'amitié d'Anne Goscinny, à ce « Roman des Goscinny » - un roman graphique où tout est vrai. 320 pages magnifiques, en trichromie, où Catel nous raconte la vie de René Goscinny. Sa naissance, dans le Paris des années 20, au coeur d'une famille juive, exilée de Pologne et d'Ukraine. Son père, chimiste, fils de rabbin. Sa mère, née en Ukraine, ayant fuit les progroms. Son grand-père, imprimeur de journaux yiddish. Son grand-frère moqueur, Claude. L'enfance en Argentine, bientôt. Et les passions de René : le dessin, le rire, puis l'écriture.
Catel nous emmène dans un voyage familial marqué par l'histoire, entre l'Amérique et l'Europe. Tandis que le jeune René cherche sa voie, lui le « paresseux contrarié », une partie de la famille meurt dans les camps d'extermination. René part à New York, frappe à toutes les portes, dessine et vit dans la pauvreté avec sa mère. A Bruxelles puis à Paris, il trouvera peu à peu sa vocation : non pas dessiner, mais écrire, scénario, sketchs, histoires. Goscinny crée, avec Uderzo, le personnage d'Astérix, qui devient très vite célèbre dans le monde entier ; mais aussi le Petit Nicolas avec Sempé. Et il est le grand scénariste de Lucky Luke et de Iznogoud.
C'est aux portes du « célèbre village gaulois » que s'arrête le premier tome du « Roman des Goscinny » : alternant avec force et tendresse des épisodes de la vie de « René » ; et ceux racontés par sa fille Anne à son amie - donnant une vérité, une drôlerie et une émotion à ce projet fondateur.
Les bédéphiles de SambaBD ont tranché et partagent avec vous leurs albums incontournables de l'année
On aime, on vous fait gagner un délicieux roman anglais, une splendide fresque historique et un roman graphique absolument passionnant !
Lorsque Anne Goscinny demande à Catel de faire le portrait de son père en BD, celle-ci refuse d'abord, puisque elle, son truc, ce sont les biographies de femmes : Kiki de Montparnasse, Olympe de Gouges, Alice Guy ou Joséphine Baker... Mais fascinée par la vie de René Goscinny, elle trouve un subterfuge pour écrire cet album qui parle d'abord de Anne Goscinny, l'écrivaine... qui raconte son père.
J'aime beaucoup Catel et notamment ses ouvrages cités plus haut. J'ai donc aimé retrouver son trait pour montrer une vie peu ordinaire, celle de l'un des plus grands scénaristes de la BD franco-belge, si ce n'est le plus grand. Lucky Luke, Astérix et Obélix, Iznogoud, Le petit Nicolas, pour parler des plus connus, c'est lui. Des grands classiques de la bande dessinée. Mais avant d'arriver à la notoriété et au succès, il a galéré René Goscinny. Né en France en 1926. Enfance en Argentine, sa famille pour beaucoup morte dans les camps pendant la guerre. Il sait qu'il veut faire un métier rigolo, mais dans les années 40/50, la BD n'est pas encore ce qu'elle est devenue, ce n'est pas un métier en vue. Sans jamais se départir d'une bonne humeur et d'humour, le jeune René dessine d'abord et propose ses dessins à divers journaux. La suite, je vous laisse la découvrir dans ce bel album biographique. Catel reproduit dedans des dessins de Goscinny, des caricatures, ses premières BD avec Dick Dick's un détective maladroit...
Pari réussi, haut la main pour la première biographie dessinée de ce grand scénariste de BD décédé en 1977, une sorte de mise en abîme, signée Catel avec la complicité de Anne Goscinny, qui préface et raconte.
Je ne lis que très peu, voire quasiment jamais de roman graphique. C'est en écoutant une interview de Catel sur France Inter que j'ai eu l'envie de lire celui-ci.
Anne Goscinny, lors de sa rencontre avec Catel dont elle admirait le travail depuis longtemps, lui a proposé de consacrer un roman graphique sur son père, René Goscinny.
Dans un premier temps, Catel a refusé au prétexte que son sujet de prédilection était les héroïnes. Puis au fil de ses rencontres avec Anne et de l'amitié qui s'est tissée entre elles, elle est revenue sur sa décision.
Et j'ai envie de dire qu'elle chance pour nous lecteurs de son roman, mais aussi pour tous ceux qui ont lu « Astérix », de découvrir la vie d'un de ses créateurs.
De sa naissance en 1926 jusqu'à la naissance du village des irréductibles gaulois en 1959, nous suivons le parcours de cet homme qui dès l'enfance a eu la passion du dessin, qui a surmonté des tragédies familiales, qui a bossé très dur pendant des années, qui a connu d'horribles périodes de vaches maigres mais a toujours gardé son sens de l'humour et son envie de faire rire. Car le rire aide à vivre et parfois même à survivre.
Dès les premières planches, j'ai été happée par l'histoire et les 332 pages ont défilé très vite.
Une biographie en images absolument extraordinaire. Lorsque Anne Goscinny suggère à Catel de raconter la vie de son père René Goscinny, l’idée lui paraît surprenante. Et puis elle fait son petit bonhomme de chemin et elle accepte.
C’est avec un immense plaisir que j’ai découvert la vie de ce grand maître du genre. Dès sa naissance. Depuis son plus jeune âge, il était comme déjà destiné à amuser la galerie, ce qui ne l’empêchait pas d’être bon élève.
Il a suivi ses parents dans leurs voyages et a passé sa jeunesse à Buenos Aires. L’humour était son exutoire, le dessin sa façon de s’exprimer. Il voulait à tout prix s’amuser et amuser les autres. Une vocation toute trouvée. Et le reste de sa vie et de son histoire, est à découvrir…. L’Argentine, la terre qui les a sauvés. La guerre et l’horreur de la Shoah. L’histoire et les disparitions dans leur famille chamboulera leur avenir, René et sa mère devront vite se mettre au travail. Gagner leur vie. Aller retour États-Unis France. Mais René sait déjà ce qu’il veut devenir… Le dessin sera toute sa vie… Mais d’autres emplois l’attendent avant qu’il ne puisse vivre de sa passion.
A découvrir dans cette fresque fabuleuse, la sienne, celle du grand fondateur de ces emblématiques personnages qui ont marqué et marquent toujours à tout âge. Il est le père créateur de Astérix, du petit Nicolas… mais René Goscinny est bien plus que tout cela. Un aventurier du crayon, un jongleur des mots, un bienfaiteur de la littérature.
Catel, à travers cette biographie hors du commun, nous ouvre la porte de la vie de René Goscinny, un grand moment de découverte. A travers ses dessins et les mots du protagoniste, on pénètre dans son monde. On n’a qu’une envie, relire le Petit Nicolas, retrouver le génie de cet homme qui nous a tant faire rire, par le passé et encore maintenant.
https://littelecture.wordpress.com/2019/11/11/le-roman-des-goscinny-de-catel/
Je n’ai jamais été friande de BD, ce style ne m’a jamais attiré, pour autant j’étais ravie découvrir cet ouvrage et pleinement d’actualité. Ce style était pleinement approprié pour parler de René Goscinny, mais il est également différent et dynamisant.
Découvrir la vie de René Goscinny, de sa famille, de ses voyages, de ses duos, de ses amitiés, de ses galères, ses péripéties et sa détermination à ne jamais abandonner le dessin sous les dessins de Catel est très agréable, le ton et l’envie de sa fille de « raconter » son père en fond un bel hommage.
J’ai refermé le livre avec des connaissances nouvelles, une vraie découverte de l’auteur que l’on ne connaît finalement que de part son œuvre. Il est d’autant plus intéressant que l’on y retrouve des vraies planches, croquis, essais, on peut suivre l’évolution de ses traits, et son envie de caricaturer toujours
On connaît Goscinny par ses œuvres, son succès, sa notoriété. Il nous a fait rire pendant des années avec la complicité de Sempé ou Uderzo. Mais ici, c’est une vraie biographie que nous présente sa propre fille Anne, et la célèbre illustratrice Catel Muller, afin de nous montrer le fabuleux destin de cet enfant d’émigrés.
Un album fabuleux en l’honneur de René Goscinny, essentiel et drôle, dans une lumière tendre, né de l’admiration réciproque entre Anne Goscinny, fille de l’illustrateur, qui écrit « des récits noirs étrangement lumineux » et Catel Muller dessinatrice reconnue pour ses portraits de femmes .
Lorsque son père disparaît, Anne a neuf ans. Il est sa part manquante. Quarante ans plus tard, la bande dessinée a conquis ses lettres de noblesse, Anne demande à Catel de réaliser la biographie de son héros. Elle relève le défi, Anne devient l’héroïne de l’histoire.
« Dessiné, conçu, écrit par Catel. Avec l’amitié complice d’Anne…Et les mots de René Goscinny. » Tout est vrai. Les archives familiales lui sont totalement ouvertes ; lorsqu’elle s’interroge ou se perd dans la masse des documents écrits, sonores visuels, Anne précise et éclaire.
Quatre années de travail pour un merveilleux résultat, trois cent vingt pages en trichromie, avec une préface d’Anne Goscinny, bien sûr. Les récits du père et de sa fille alternent en quatorze chapitres, avec une l’utilisation de codes couleur : un bleu d’éternité pour René, un jaune orangé très actuel pour Anne. Le prologue en rose passé illustre l’étrange anniversaire des dix-huit ans de l’héroïne, digne d’un polar, couleur que l’on retrouve pour le dénouement en épilogue. Reprise de l’orangé qui marque la fin joyeuse.
Les bulles fourmillent d’anecdotes rocambolesques, de révélations fascinantes, d’étourdissants voyages, ce roman historique se déroule sur un siècle. Les larges cases et le traitement des couleurs posées sans variations de tons accentuent la lisibilité. Respiration et clarté dominent. Beauté du graphisme, réalisme simplifié des visages et pureté de la ligne adoucie de Catel font que cet album est aérien. Gageure réussie.
Gaulois ou citoyen du monde ? 1928, deux ans, René quitte Paris et sa famille juive, embarque avec sa mère et son frère moqueur pour rejoindre son père ingénieur chimiste en Argentine. Ses racines paternelles (grand-père rabbin à Varsovie) sont en Pologne. Du côté de sa mère, fuyant les pogroms, ils sont venus d’Ukraine ; le grand père a fondé dans le cinquième une imprimerie prospère spécialisée dans le tirage de journaux en yiddish ou russe.
L’enfant a le goût de faire rire « jusqu’à l’obsession » pour être aimé. Excellent élève du Collège Français de Buenos Aires mais toujours angoissé à l’idée de ne pas faire assez bien.
Les archives sont stupéfiantes : le petit Nicolas, c’est lui. Cour de récréation, sport,
sorties et relations sociales, les chouettes copains, cruautés et photos de classe. Tout est là.
Tant de croisières dans la vie de René ! L’escale de Dakar lors du dernier voyage vers Jérusalem avant la guerre le marque profondément ; en quelques cases, Catel nous la rend inoubliable, gravure à l’eau-forte d’un passé colonial pas si lointain .
Le dessin est sa passion. De Walt Disney aux Pieds Nickelés, il dévore tout, s’exerce et caricature à l’envi. On ressent le plaisir des films découverts avec son père westerns, Charlot et la révélation du duo Laurel et Hardy.
Puis survient la guerre en Europe, les déportations, l’imprimerie aryanisée, la famille décimée ; C’est la montée de l’horreur.
Noël 1943 : son père meurt. La vie bascule. Marqué au fer rouge de l’histoire.
Avec sa mère et ses dessins, il part pour New York et des années de galères. René Goscinny enchaine les petits boulots, le chômage, il trime mais ne renonce jamais. Il vit des intermèdes hallucinants, comme ce retour en France pour effectuer son service militaire en 1946 ; la faim, les privations puis sur le bateau du retour c’est ripailles, repos et rencontre prodigieuse. Les claques de la vie il les transforme en rire et en B.D. De jeunes illustrateurs lui apprendront tout de leur métier méprisé. Avec Uderzo il réalise enfin qu’il écrit mieux qu’il ne dessine ; en duo avec Morris il scénarise Lucky Luck, avec Sempé « il aiguise encore plus yeux, ses oreilles ».
Il rentre à Paris avec sa mère. Homme de presse et de pub accompli, corvéable à merci, il multiplie les traversées transatlantiques, travail acharné, flambées de whisky et d’amitiés au cœur de la nuit jusqu’au clash. De nouveau le chômage, la solitude, qui lui permette de compter ses vrais amis. Ils créent à quatre, en mousquetaires, libres, l’agence qui va les lancer au firmament.
René propose à Sempé de reprendre Le Petit Nicolas « mais pas en B.D., plutôt en récit illustré, en inventant un langage de gosse ! » Et ressurgissent les souvenirs enfouis…C’est un succès inouï.
Avec l’ami Uderzo, il crée dans la joie et le rire Astérix, en ayant toujours à l’esprit Laurel et Hardy.
Une légende est née.
Il disparaît à 51 ans, laissant une trace fulgurante de talent et d’amour. Il semble avoir initié la rencontre de ce nouveau duo créateur. L’art permet-il de transcender la mort ?
Catel et Anne ont porté très haut la gloire de ce père.
Dans la maison de famille où elle a tant travaillé avec Catel, Anne peut respirer, le livre est admirable. Elle nous a appris que Goscinny veut dire hospitalier en polonais et il est vrai qu’elle nous a ouvert les portes de sa maison fleurie où cinq chiens passaient de cases en cases. Son fils rentrait de voyage, à son tour, il allait fêter ses dix-huit ans.
Le Roman des Goscinny se poursuit…le duo Anne et Catel a donné naissance à une nouvelle héroïne. Le Petit Nicolas a une grande sœur « Je m’appelle Lucrèce et le monde m’émerveille » Anne scénarise, Catel dessine.
Une très agréable lecture qui m’a fortement intéressée. Même le format du livre m’a plu. Bravo aux auteures.
Lire un roman graphique change clairement mes habitudes de lectrice. En effet, je ne suis pas une grande lectrice de bandes dessinées. Quand c'est le cas, je lis les bulles, ne regarde presque pas les dessins et arrive à la fin de l'ouvrage en moins de temps qu'il n'en faut pour le dire... Mais cette fois-ci, j'ai fait un effort pour apprécier pleinement ma lecture. J'ai découvert la vie de René Goscinny que je ne connaissais que pour avoir lu son nom sur mes Lucky Luke ou mes Astérix quand j'étais plus jeune (et à l'époque, je regardais mieux les dessins).
Catel donne ici la parole alternativement à René Goscinny lui-même, les dessins sont alors dans une teinte froide, et à Anne Goscinny, sa fille, et les couleurs deviennent plus chaudes.
J'ai trouvé l'histoire de René Goscinny intéressante mais j'ai été gênée par le fait que Catel se mette en scène avec son amie Anne Goscinny. J'ai parfois eu l'impression d'être une pièce rapportée dans une réunion de famille, une sensation un peu embarrassante.
Je suis contente d'avoir lu un roman graphique mais je ne suis pas vraiment convaincue par celui-ci.
Raconter Goscinny en BD, en voilà quelque chose d’osé !
Et que c’est plaisant et agréable !
Au début, Catel nous raconte la genèse de cette œuvre : il s’agit d’une demande plutôt spécifique d’Anne - La fille de René Goscinny - à son amie illustratrice.
Dès lors, le lecteur suit, tour à tour, la vie de René Goscinny et les rencontres entre Anne et Catel qui donneront naissance à cette biographie graphique.
Au départ de ma lecture, j’ai eu du mal à me départir du côté « commande » de l’ouvrage.
Catel est bien présente, dans cet ouvrage. Elle a accédé à cette demande, certes, mais on y retrouve bien sa patte, son style, son coup de crayon.
J’ai beaucoup aimé en lire plus sur la vie de René Goscinny. Cet homme a passé sa vie à courir après ses rêves ... et a réussi à les attraper pour les faire réalité. En fait, Goscinny est une leçon de vie à lui tout seul. Pas étonnant que ses BD aient fassent toujours rêver des millions d’enfants.
C’est ça Goscinny, une âme intemporelle qui nous murmure au creux de notre cœur, nostalgie.
Un air qui respire le bonheur. Alors, quand nous voulons nous échapper adulte du quotidien grisâtre, nous replongeons dans son œuvre. Cet instant magique, nous le retrouvons dans le roman graphique de Catel.
Elle a su recréer l’atmosphère qui nous est chère, et c’est juste fabuleux.
Parce qu’elle aime le travail et la créativité de Catel, un jour Anne Goscinny lui propose d’écrire sur son père René Goscinny. Mais Catel aime les héroïnes et René est un homme. Pourtant, une bien belle idée va germer, Anne et René Goscinny réunis dans un même roman graphique, pour nous raconter chacun à son tour son histoire.
D’abord la naissance de René, le deuxième fils de Stanislas Goscinny et Anne Beresniak-Goscinny à Paris, puis son enfance à Buenos Aires en Argentine, né de parents juifs arrivés de Pologne, et dont la famille restée en France sera en grande partie déportée dans les camps. De cela, comme pour beaucoup d’hommes et de femmes de sa génération, René Goscinny ne parla jamais.
Depuis toujours attiré par le dessin, et par l’humour, lui l’excellent élève rêve d’un métier dans lequel il pourra se réaliser, être heureux et faire le bonheur des autres. Pas facile malgré tout de vivre du dessin, même s’il a déjà le trait sûr. La mort de son père viendra compliquer son avenir, il va devoir travailler avec sa mère pour que son frère puisse poursuivre ses études. De changements d’orientation en petits boulot, de l’argentine à New-York et Paris, d’un continent à l’autre, nous découvrons cet immense artiste, ses rencontres, ses intuitions, sa coopération avec les plus grands de son temps, car si au départ il s’oriente vers le dessin, très vite c’est dans l’écriture qu’il excelle, et c’est le scénariste qui s’impose, avec Uderzo bien sûr, mais aussi Morris ou Sempé, pour créer d’inoubliables personnages, Astérix, Lucky Luke ou même le petit Nicolas pour ne citer qu’eux.
On retrouve avec plaisir le trait de Catel, sa façon de présenter, les couleurs tranchées adaptées aux époques et personnages, mais aussi de nombreux dessins de Goscinny lui-même, particulièrement intéressants même si parfois pas facilement lisibles, en particulier pour les extraits de journaux.
Lire ma chronique complète sur le blog Domi C Lire https://domiclire.wordpress.com/2020/03/13/le-roman-des-goscinny-naissance-dun-gaulois-catel/
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