Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
«Le Moine de Matthew Lewis existe en français sous deux formes : la traduction littérale, mais déjà ancienne, de Léon de Wailly, et la "copie" qu'en fit Antonin Artaud au début des années 1930. Plus encore que les traductions de Poe par Baudelaire, Le Moine d'Artaud constitue une oeuvre personnelle, revendiquée comme telle : "C'est assez différent de tout ce que j'ai fait à ce jour", écrit-il à Jean Paulhan le 16 septembre 1930, "et cela demeure, je crois, très personnel, et même assez curieusement personnel" (VI, 317). Il est d'autant plus curieux, alors, qu'à la différence de l'énorme quantité de textes critiques générés par le livre original, le seul roman qu'Artaud ait jamais écrit - ne fût-ce qu'en en "copiant" un autre - n'a retenu l'attention d'aucun des spécialistes de son oeuvre. La présente étude devra contribuer à résorber ce vide critique.» Jonathan Pollock.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle