Les meilleurs albums, romans, documentaires, BD à offrir aux petits et aux plus grands
En octobre 2008, Jo Bellamy, jeune paysagiste américaine, arrive à Sissinghurst, dans le Kent, pour étudier le célèbre jardin blanc créé par l'amie de Virginia Woolf, Vita Sackville-West. Un jour après l'annonce de son départ, son grand-père Jock, d'origine britannique, se suicide. Jo découvre qu'il avait lui-même travaillé dans ce jardin pendant la Seconde Guerre mondiale et décide de profiter de son voyage pour comprendre son geste.
A Sissinghurst, Jo découvre par hasard un journal intime parmi les archives des jardiniers. L'étiquette porte le nom de son grand-père, mais, en le déchiffrant, elle doit se rendre à l'évidence : ce journal n'est pas le sien. Soupçonnant son auteur d'être Virginia Woolf, elle file le faire expertiser chez Sotheby's. Là, on lui concède que le style et les thèmes rappellent en effet Woolf... à un détail près : les dates.
Le 28 mars 1941, Virginia a rempli ses poches de pierres avant d'aller se noyer dans l'Ouse. Or le journal commence le 29. Des détails du journal amènent Jo à pousser plus loin cette idée : et si Virginia Woolf ne s'était pas suicidée ? Si on l'avait tuée ?
Octobre 2008 : Jo Bellamy, jeune paysagiste américaine est mandatée dans le Kent par un riche client afin d'étudier le célèbre Jardin Blanc qui fut réalisé à Sissinghust par Vita Sackville-West, l'amie de Virginia Woolf. Il en souhaite une copie conforme dans sa propriété de Long Island. Mais quelques jours avant son départ pour l'Angleterre, le grand-père de Jo se pend dans sa grange, laissant en guise d'explication, une vieille lettre incompréhensible dans laquelle il évoquait le souvenir d'une "Dame". Le drame ayant eu lieu après que Jo ait annoncé à son grand-père qu'elle partait travailler à Sissinghurst, cette dernière se sent coupable et pense qu'il y a un lien entre cette nouvelle et le suicide. Arrivée sur place, Jo va découvrir dans une vieille remise à outils un cahier qui semble être un recueil de notes de jardinier, il porte d'ailleurs une étiquette mentionnant le prénom "Jock"... le prénom de son grand-père. Mais à la lecture du cahier, Jo s'aperçoit qu'il ne s'agit pas du tout de quelques notes de jardinier mais d'un journal intime dont le style et l'écriture rappellent beaucoup ceux de la célèbre écrivaine Virginia Woolf. Mais quel est donc le lien entre son grand-père et Virginia Woolf ? Serait-ce elle, la Dame ? Et comment ce journal pourrait-il avoir été rédigé par Virginia Woolf alors qu'elle s'est suicidé le 28 mars 1941 et que la première page du journal est datée du 1er avril 1941 ? Jo va essayer de dénouer l'écheveau de tous ces mystères et va partir dans une folle course à la vérité : et si Virginia Woolf ne s'était pas suicidée le 28 mars 1941 ? Et si elle avait été tuée ? Et pourquoi ? Et quel rôle a joué son grand-père, alors tout jeune jardinier, dans cette histoire ? Et si ce cahier avait réellement été rédigé par Virginia Woolf ? C'est à la quête de ce mystère que va nous entraîner Le jardin blanc, entre Oxford, Londres et Cambridge, des grandes bibliothèques anglaises à Sotheby's, entre trahison, amour et littérature... Jusqu'au dénouement final qui pourrait bien bouleverser le monde des Lettre.
J'ai beaucoup aimé ce roman qui n'est, il faut le préciser, qu'une pure fiction ! J'ai trouvé que l'intrigue mettait du temps à se mettre en place et que les pièces du puzzle tardaient un peu à s'emboîter, mais une fois l'action lancée, j'ai été transportée par cette folle aventure littéraire, par l'originalité de l'histoire, par les lieux et décors évoqués, et par le style old-england, tea-time et charme british !
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Les meilleurs albums, romans, documentaires, BD à offrir aux petits et aux plus grands
Il n'est pas trop tard pour les découvrir... ou les offrir !
Inspirée d’une histoire vraie, cette BD apporte des conseils et des solutions pour sortir de l'isolement
L’écrivain franco-vénézuélien Miguel Bonnefoy poursuit l’exploration fantasmagorique de sa mémoire familiale...