Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
À priori, ce pourrait être une imposture : Le Dieu nu de Margerit ne se dénude jamais ! En guise de la vio- lente passion annoncée, le héros en est encore à rêver, au bout de la cinquantième page, d'une main gantée effleurée, et ce au terme de gentilles conversations de boudoir façon XIX e siècle. En réalité, le XIX e siècle auquel Margerit rend hommage serait plutôt celui de Baudelaire (souvent cité), à l'érotisme suggéré par la chaleur d'une nuque dévoilée ou le froissement d'une étoffe, de cet érotisme alimenté par la frustration et qui imprègne les objets comme les paysages.
Chez Margerit, tout est érotisme, ce qui rend plus acerbe encore sa dénonciation d'une société d'avant- guerre engoncée de façon tout à fait hypocrite dans sa morale de façade.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Lara entame un stage en psychiatrie d’addictologie, en vue d’ouvrir ensuite une structure d’accueil pour jeunes en situation d’addiction au numérique...
Un douloureux passage à l'âge adulte, entre sensibilité et horreur...
Blanche vient de perdre son mari, Pierre, son autre elle-même. Un jour, elle rencontre Jules, un vieil homme amoureux des fleurs...
Des idées de lecture pour ce début d'année !