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Il y a dix ans, Michael, marquis de Bourne, a perdu les terres familiales aux cartes et s'est juré de prendre sa revanche. Aujourd'hui, il est le riche propriétaire d'un cercle de jeu très en vue, où il plume sans vergogne les joueurs impénitents. Toutefois, il n'a pas récupéré son domaine ancestral, Falconwell, dont son ancien voisin est désormais le propriétaire. Lorsque ce dernier lui annonce que ces terres font partie de la dot de sa fille, Michael décide d'épouser Pénélope. Qu'elle le veuille ou non!
Premier opus de la saga Le cercle des canailles de Sarah Maclean où l'on découvre 4 aristocrates déchus par la bonne société ouvrant un club.
Dans le flambeur nous suivons l'histoire de Michael, Marquis de Bourne qui à tout perdu par cupidité et stupidité aux jeux. Neuf ans plus tard, il a refait fortune et, à la tête d'un club, plume sans pitié les pauvres diables tenaillés par l démon du jeu. Toutefois, il n'a pas récupéré son domaine ancestral, Falconwell, dont son ex-voisin est désormais propriétaire. Lorsque celui-ci annonce que ces terres font partie de la dot de sa fille, Bourne décide, sans éprouver le moindre état d'âme, d'épouser Pénélope. Qu'elle le veuille ou non. Il kidnappe donc la jeune fille bien qu'elle soit son amie d'enfance.
Un livre addictif, on plonge de suite dans l'ambiance, une romance assez forte, un compromis à un autre, des pièges, une soif de vengeance, un roman bien écrit, des personnages attachants. Lecture sympathique.
"Elle se tortilla si violemment qu'il la sentit glisser et qu'un pied s'approcha dangereusement d'une partie précieuse de son anatomie.
Il grommela, raffermit sa prise.
— Arrêtez, s’écria-t-il en lui flanquant une tape sur les fesses.
Elle se raidit.
— Ce n'est pas possible... Je ne peux pas... Vous m'avez frappée !
Il poussa la porte des cuisines de Falconwell, entra, posa sa lanterne sur la table et déposa Pénélope au milieu de la pièce.
— Vous portez une telle quantité de vêtements que je suis surpris que vous ayez senti quelque chose, répliqua-t-il.
— Peu importe ! s’écria-t-elle, le regard brillant de fureur. Jamais un gentleman ne se permettrait de me... de me...
S'amusant de son embarras, il proposa :
— Le mot que vous cherchez ne serait-il pas « fesser » ?
Elle écarquilla les yeux."
"Le problème avec les mensonges était qu'il était trop facile d'y croire. Même si c'était vous qui les profériez."
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