Une liste qui regorge de pépites littéraires à savourer tout au long de l'été
2016, Paris.
Éva hérite d'une librairie dans le quartier de la Butte aux Cailles. Les exigences du vieux propriétaire avec lequel elle s'était liée d'amitié ? Que la librairie ne soit jamais vendue et qu'Éva y conserve un tableau représentant une jeune femme, penchée sur un carnet, aux pieds d'un acacia majestueux. Bientôt, elle se prend à imaginer la vie de la femme du tableau, Apollinariya Ivanovna Lubiova, une jeune aristocrate russe, vibrante de rêves et d'idéaux au coeur de l'été 1916.
Mais tandis que les mois passent, fiction et réalité semblent se confondre... Et si la librairie renfermait des mystères insoupçonnés ? Le voyage d'Éva à Saint-Pétersbourg pourrait-il l'aider à comprendre le lien étrange qui l'unit à Apollinariya ?
Une liste qui regorge de pépites littéraires à savourer tout au long de l'été
Eva, étudiante en lettres a reçu en héritage d'un vieil ami une librairie pleine d'anciens ouvrages entassés et poussiéreux au milieu desquels elle découvre un tableau qui , selon le testament doit toujours être conservé dans la librairie .
Eva, la passionnée de culture et littérature slave se met alors à imaginer la vie de la jeune fille russe qui est le personnage central du tableau , et entreprend la rédaction du journal que celle-ci, qui s'éveille à l'amour et qu'elle prénomme Apollinarya aurait pu écrire dans les années 1916-1917.
Les différents épisodes du journal d'Apollinarya en Russie au début du siècle viennent alors s'intercaler entre les chapitres relatant la vie actuelle de celle qui le crée, Eva, un siècle plus tard, à Paris . Il semble parfois que leurs deux destins se croisent …...
« C'est un beau roman, c'est une belle histoire, c'est une romance …. »chantait en son temps Michel Fugain.
Il possède tout ce qui peut ravir les lecteurs ou lectrices de ce genre : un double potentiel romanesque avec deux récits intimistes qui s'entrelacent, une exaltation sentimentale, une écriture chargée d'émotion, de longues phrases à l'image des passions .
A cela s'ajoute un certain « exotisme » apporté par de nombreuses références historiques et littéraires à la Russie d'avant la révolution bolchevique .
Rien d'étrange à ce que le roman ait reçu le Prix du Livre Romantique 2019.
Malheureusement pour moi, je n'en ai pas goûté les saveurs …..Il m'a semblé lourd et plutôt indigeste
Eva hérite d'une libraire ou se trouve un curieux tableau représentant une jeune fille . Consigne de l'ancien propriétaire : le tableau ne peut en aucun cas quitter la librairie.
Eva qui souffre d'une peur des autres et est quelque peu enfermée dans sa bulle décide d'écrire l'histoire de cette mystérieuse jeune fille en retournant à l'époque de la révolution russe.....
Le bouquin est rempli de références poétiques et littéraires et est parfait pour les férus d'histoire et les passionnés de la Russie.
Connaissant peu l'époque et les lieux il me faudrait lire avec un dictionnaire pour comprendre toutes les notions....
Voilà pourquoi malgré une histoire agréable j'ai eu beaucoup de peine à tourner les pages et à me laisser emporter dans la passion pourtant très belle de cette jeune Eva /Polina....
Une belle romance sur fond de révolution et de littérature russe. Conseillé par ma libraire, Le bruit des pages est un roman original, riche en références littéraires et artistiques. Dans ce roman, nous suivons Eva, jeune étudiante passionnée de romans et de culture slave, qui, suite à un leg de son vieil ami Ernest, s’installe dans l’ancienne librairie des Butte-aux-Cailles. Seule condition imposée par Ernest, le portrait d’une jeune femme, datant de 1916, ne doit jamais quitter la librairie. Intriguée, Eva va imaginé la vie de la femme du portrait et écrire son journal intime. Mais, petit à petit, la réalité et la fiction semblent se mélanger…
J’ai aimé découvrir cette auteure et son écriture très poétique. Les personnages sont beaux dans leurs forces et leurs faiblesses, dans leurs passions. L’idée d’entrecroiser fiction et réalité, créant ainsi une mise en abyme, est originale. L’histoire d’amour est tout simplement belle et agréable à lire. Quelques petits bémols néanmoins : j’ai assez vite deviné le dénouement et les nombreuses références ralentissent parfois l’intrigue.
Romantisme assuré !
Deux périodes : 2016 avec Éva et 1916 avec le personnage du tableau. Deux lieux aussi Paris, la Russie avec la ville de Saint-Pétersbourg en particulier. Les titres de chapitre nous guident. Mais c'est en 1917 que le premier volet débute.
Le seul intérêt que j'ai ressenti, c'est la découverte de la Russie au siècle dernier. L'écriture est déroutante avec de nombreuses références littéraires, musicales, historiques. Mélange d'époque, de pays, de tradition, de fiction et de réalité qui pour finir se mêlent, s'entremêlent.
C'est seulement mon ressenti. Ce livre a reçu le prix romantique, il doit le mériter. Je suis vraiment passée à côté.
Chronique complète : https://vie-quotidienne-de-flaure.blogspot.com/2020/03/Le-bruit-des-pages-Livia-MEINZOLT.html
Librairie, mélange de fiction et de réalité, un tableau mystérieux ? Ce sont les mots clés du résumé qui m'ont convaincu de découvrir Le bruit des pages. Ça et aussi parce qu'il a reçu le Prix du Livre Romantique. Celui de l'année dernière avait été un très gros coup de cœur. Je fais donc confiance au jury pour nous choisir un roman de qualité.
Le bruit des pages est un roman qui mélange les époques, les villes, les personnages et où la fiction et la réalité s'entrelacent pour ne former qu'une seule unité. J'adore lorsque l'auteur me promène d'un siècle à l'autre, où je peux découvrir ou redécouvrir des mœurs, des coutumes, des mentalités et même des pays. Livia Meinzolt nous offre un récit se déroulant à la fois en 2016 à Paris et en Russie dans les années 1917, juste avant la Révolution. J'ai pris beaucoup de plaisir à suivre les deux histoires parallèles que j'ai trouvé pleines de mystères. Le récit est intriguant. J'avais envie de découvrir le lien entre les deux. Certes, je l'ai très vite trouvé mais cela ne m'a pas gâché mon plaisir de lecture.
Cette histoire respire le romantisme, pas seulement dans la présence d'une histoire d'amour. Non, c'est le romantisme littéraire. L'écriture est mélodieuse. Les mots sont choisis avec soin, avec précision pour former un ensemble magique. J'avais l'impression de lire une mélodie, comme une sorte de poème qui raisonnait dans mes oreilles. Il y a un vrai travail dans l'écriture, un travail maîtrisé, recherché et qui colle avec l'ambiance du récit. Pour un premier roman, c'est quand même quelque chose de dingue. Livia Meinzolt a un vrai talent pour écrire de belles histoires. Elle a le talent et la maîtrise des mots, des phrases et des sons.
Mais, cette histoire est aussi romantique par son histoire d'amour. Quelle magnifique histoire ! Cet amour impossible qui va défier les conventions, les siècles, pour s'inscrire dans l'éternité. Les deux derniers chapitres sont une ultime explosion. Une explosion d'amour. C'était sublime !
La Russie est un pays que je connais très peu et que je prends plaisir à découvrir lors de mes lectures. Depuis ma lecture de Des jours et des vies de Gill Paul, j'ai très envie de lire des récits qui se passent dans ce pays. Ici, j'ai été gâtée. Je me suis baladée dans la Russie du Xxème siècle. L'auteure a vécu dans ce pays et cela se ressent fortement : entre les descriptions des lieux et les mots en russe qui parsèment le récit, on a l'impression d'y être.
Le bruit des pages est un roman documenté, où l'on sent vraiment que l'auteure s'est documenté et a lu beaucoup de romans se passant à cette époque et qu'elle a de la culture. Le roman est parsemé de citations de différents romans, philosophes, essais. Si j'ai trouvé cela très enrichissant, en plus des merveilleuses descriptions des lieux, j'ai trouvé que cela alourdissait la lecture. Il m'a fallut rester concentrée pour arriver à tout suivre et à comprendre toutes les subtilités. Pour moi, et cela n'est que mon avis, j'ai trouvé qu'il y en avait trop... S'il y en avait eu moins, cela aurait certainement rendu ma lecture plus fluide, mais peut-être aussi que cela aurait enlevé de la beauté au récit.
En conclusion, Livia Meinzolt nous amène dans la Russie du Xxème siècle et du XXIème, nous fait traverser les époques, nous fait vivre les événements marquants de cette époque, tout en suivant l'histoire de Eva, cette libraire, amoureuse de la Russie. Un très beau et bon premier roman où l'auteure nous dévoile tout son talent littéraire. C'est un roman de qualité qui mélange avec brio l'amour et le mystère.
Éva hérite d'une librairie dans le quartier de la Butte aux Cailles. Les exigences du vieux propriétaire avec lequel elle s'était liée d'amitié ? Que la librairie ne soit jamais vendue et qu'Éva y conserve un tableau représentant une jeune femme, penchée sur un carnet, aux pieds d'un acacia majestueux. Bientôt, elle se prend à imaginer la vie de la femme du tableau, Apollinariya Ivanovna Lubiova, une jeune aristocrate russe, vibrante de rêves et d'idéaux au coeur de l'été 1916.
Mais tandis que les mois passent, fiction et réalité semblent se confondre… Et si la librairie renfermait des mystères insoupçonnés ? Le voyage d'Éva à Saint-Pétersbourg pourrait-il l'aider à comprendre le lien étrange qui l'unit à Apollinariya ?
Merci à son auteur pour ce livre, truffé de références littéraires, artistiques, musicales et poétiques. Ce roman donne la place principales à 2 personnages féminins que sont Eva et Apollonariya, dit Polina. Eva est une jeune femme idéaliste, passionnée, pleine d'empathie mais qui vit dans son monde fait de livres, d'écriture. L'écriture de son livre lui permet de se libérer, de se retrouver et de trouver l'amour...
Il oscille en permanence entre passé et présent, et ce que j'ai beaucoup aimé c'est le fait que ce roman soit écrit comme un puzzle narratif dont les pièces s'emboitent progressivement jusqu'à un dénouement qui n'apparait que dans les dernières pages. L'auteure sème par ci, par là des indices mais juste ce qu'il faut pour nous maintenir en haleine et nous pousser à tourner encore et encore les pages.
Et l'ensemble est superbement écrit, mais il y a un petit mais tout de mème. J'ai trouvé parfois quelques longueurs qui ont un peu (mais juste un peu!) entravé mon plaisir.. mais sur 10, il vaut quand même 9.
Eva hérite d'une librairie où se trouve une peinture représentant une jeune femme penchée sur un carnet, aux pieds d'un acacia majestueux qui va l'inspirer pour écrire le journal de cette jeune fille.
Prix du livre romantique 2019
Le bruit des pages est un roman où le travail d'écriture et de références littéraires sont remarquables. Dès les premières pages j'ai été séduite par l'histoire d'Eva et de Polina, qui nous emmène dans la Russie pré révolutionnaire. Au fil de la lecture on est pris dans le tourbillon des destins des personnages si attachants, pour nous livrer de belles émotions.
Ce livre est une promesse d'une histoire envoûtante qui vous fera tourner les pages avec frénésie au plus grand plaisir des amoureux des mots.
Un prix romantique bien méritée! À découvrir !
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