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Thomas Langlois, né comme son aïeul Aimé Bolduc une année bissextile, ne fête son anniversaire qu'une année sur quatre. Mais est-il pour autant, comme l'espère vivement son père, promis au même destin que son ancêtre qui, lui, ne vieillissait que d'une année tous les quatre ans ? En suivant les vies de ces deux personnages d'exception, L'année la plus longue traverse, de Chattanooga à Montréal, des Great Smokies aux monts Chic-Chocs, près de trois siècles d'histoire de l'Amérique. De la prise de Québec par les Britanniques en 1760 au 11 septembre 2001, de la capitulation des Indiens au combat des Noirs américains, c'est l'âme du continent tout entier qui s'invite et s'anime dans cette fresque épique et familiale.Ce premier roman, oeuvre d'un immense conteur, réussit le pari fou de nous plonger au coeur de la grande histoire et, au-delà, de nous en peindre mille et une autres.
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Retrouvez l’interview de Daniel Grenier, "L'année la plus longue" (Flammarion)
L'un est Pour, l'autre est Contre, découvrez les critiques de Marie-Julie Péters et Jean-François Simmarano sur "L’année la plus longue" de Daniel Grenier (Flammarion)
Les chroniques sont en ligne ! A découvrir pour avoir des idées de lecture...
Thomas Langlois est né un 29 février. Pour Albert Langlois son père, ce hasard recoupe la recherche de toute sa vie sur les traces de son grand père biologique né Aimé Bolduc lui aussi né ce jour là et qui traverse les siècles sans vieilir. A travers plus de trois siècles et en croisant le destin d'immortalité d'Aimé Bolduc et de Thomas Langlois Daniel Grenier retrace les guerres de session et les destins individuels à travers l'histoire. de l'Amérique du Nord, des indiens canadiens aux rives du Tennessee.
L'écriture est dense, le récit riche et la trame du récit se perd dans des longueurs. C'est un roman à décourvir pour la poésie et la réflexion sur le temps même si certains passages nous perdent dans le temps et l'espace.
Commençons par l’aspect positif de cette lecture : j’ai appris plein de choses sur l’Histoire des Etats-Unis et du Québec, par le petit bout de la lorgnette.
Mais que le style m’a déplu : c’est alambiqué, les phrases tournent autour du pot, partent en digressions.
Qui plus est, le récit est construit comme un puzzle, me perdant dans les couloirs du temps.
Je ne me suis donc attachée ni aux personnages ni à l’histoire.
L’image que je retiendrai :
Celle de l’anniversaire de Thomas que son père ne lui fêtait que tous les 4 ans.
http://alexmotamots.fr/?p=2147
Chronique « de la page 100 »
L’ANNEE LA PLUS LONGUE
Daniel Grenier
« L'Année la plus longue » s’ouvre sur une scène sombre d’un convoi qui se déplace dans le vent glacé et la pluie. Nous sommes en 1838 entre le Tennesse et l’Illinois, des indiens de tribus différentes sont « déplacés » vers le nord, image Fordienne décrite avec brio par Daniel Grenier qui installe dès ce préambule le mystère autour d’un personnage sans ombre et sans âge, qui emmène le convoi vers sa destination finale.
Sans nous en donner plus que ça, il ouvre une première partie du roman toujours dans le Tennesse mais cette fois en 1997. Le mode de vie et les personnages nous sont de fait plus familiers, mais plus nous avançons avec eux, plus le mystère s’épaissit et nous fait penser à juste titre que nous allons faire des allers-retours dans le temps et l’histoire pour peut-être l’élucider.
En attendant, le héros de cette période qui nous est contemporaine, jeune garçon né un 29 février est très attachant, tout comme ses parents et grands-parents pour des raisons complètement diverses. Certains quittent la scène, d’autres vont monter en puissance.
La première partie se termine. Abrupte. Loin de l’affect avec un sens du récit quelque peu chirurgical.
Tout porte à croire que nous allons lire un roman sur l’Amérique, le continent, avec ses grandes contradictions. Ce qui n’est pas pour nous déplaire.
Page 97 Fin de la Première Partie
Chronique
L’ANNEE LA PLUS LONGUE
Daniel Grenier
« L’année la plus longue » s’ouvre sur une scène sombre d’un convoi qui se déplace dans le vent glacé et la pluie. Nous sommes en 1838 entre le Tennesse et l’Illinois, des indiens de tribus différentes sont « déplacés » vers le nord, image Fordienne décrite avec brio par Daniel Grenier qui installe dès ce préambule le mystère autour d’un personnage sans ombre et sans âge, qui emmène le convoi vers sa destination finale. Fil rouge du roman, le personnage reviendra et commence alors une série d’allers-retours dans le temps et l’histoire au travers le destin de Twentyners, ces personnes nées un 29 février. Elles semblent ici victimes des années bissextiles et frappées d’un sort (ou d’un charme) ne les faisant vieillir qu’une année sur quatre. Nous sommes dans le romanesque fantastique sous l’influence d’Edgar Poe dès qu’il s’agit de retrouver l’ancêtre(Aimé) traversant les siècles du dix huitième jusqu’à nos jours et au-delà. Personnage clef, mais pas seul en scène puisque un de ses descendant (Albert) va passer sa vie à le traquer laissant à son fils (Thomas) le soin de conclure la fable.
Mais «L’Année la plus longue » est un roman ambitieux. Très ambitieux. Et c’est peut-être là son principal défaut. L’histoire embrasse une grande partie de l’histoire des Etats Unis depuis sa création et se termine au Canada. Daniel Grenier aborde un certain nombre de situations phare, les effleure souvent, les compile et demeure sans doute trop en surface sans traiter véritablement de grands thèmes qui lui tiennent à cœur (Droits civiques, 11 septembre, paternité…) Sans doute aussi parce qu’il a beaucoup de mal à choisir son cheval de tête entre les trois personnages qu’il nous fait suivre mais dont aucun n’aura l’épaisseur d’un grand personnage de roman américain (On pense à ce que Richard Ford, Philip Roth ou Paul Auster auraient fait de certaines situations…)
Aussi, l’espoir que faisait naître le début du roman d’en apprendre encore un peu sur l’Amérique n’est pas assouvi. Finalement, le choix du registre Fantastique éloigne l’auteur de sa lecture de l’Histoire et ne nous dit pas grand-chose de l’Amérique sinon ce que l’on savait déjà (Les Indiens ont été traités comme des animaux, L’Amérique est raciste avec les noirs, Y être père est la responsabilité suprême) et sans aucun doute mieux écrit par ses contemporains.
Lorgnant parfois lourdement du côté de Francis Scott Fitzgerald et son Benjamin Button, ou encore de Mircea Eliade et son Homme sans âge, Grenier se contente souvent de faire promener son Forrest Gump au travers des siècles, nous gratifiant de certaines fulgurances très adroites comme une scène de transformation à la Bram Stoker ou encore et surtout cette rencontre improbable mais très belle avec Buster Keaton. Sans oublier ce qui est la partie la plus belle du roman, la rencontre des parents de Thomas dans une petite ville des Etats unis dans les années 7O , où l’on aurait aimé rester beaucoup plus longtemps.
« L’année la plus longue » est l’exemple même d’un bon livre qui aurait pu être un grand livre si l’auteur ne s’était pas dispersé et avait mieux ciblé ses choix. A trop vouloir en dire…
L’an dernier « Confiteor » et « Le Fils » marquaient au fer rouge la littérature comme deux des plus belles fresques de ces vingt dernières années. Ce ne sera pas le cas pour ce roman. Et c’est bien dommage.
Voici mon avis d'#explolecteur -confié par lecteurs.com- sur le roman de Daniel Grenier, l'année la plus longue.
Il s'agit d'un premier roman dont l'action se situe entre 1776 et 2001, des indiens qui ont capitulé, aux noirs américains qui combattent.
Arrivée à la page 100, j'ai envie de lire la suite. J'aime le style, très descriptif, qui permet de situer une scène, de "voir" les personnages.
L'histoire de Thomas Langlois, né un 29 février (qui vieillit tous les quatre ans ou pas), est originale. Tant dans le scénario, que dans la scenarisation, car l'auteur Daniel Grenier nous inclu dans l'intrigue. En effet, il nous invite à comprendre les émotions et la vie de son personnage central, qui n'est pas un héros.
Sa vie est plutôt banale, et ponctuée d'événements difficile à vivre : l'abandon de son père, la mort de sa mère... Jusqu'à une mauvaise blague qui va peser sur son destin. A ce stade, je ne sais pas plus.
Thomas Langlois permet au lecteur d'aller vers des sujets de société comme le racisme, du temps des indiens à celui des noirs américains. Au travers des grands parents, est abordée la société puritaine et très croyante des blancs américains.
Ce livre interroge aussi sur l'interprétation d'un fait et de la façon dont les médias l'utilisent. Et ce que cela peut générer en terme de violence envers un individu. Cette remarque est "libre" de l'événement en lui-même.
La mise en page -j'imagine choisie entre l'auteur et l'éditeur- permet d'avoir le titre du chapitre en haut de page, ce qui aide pour savoir à quelle époque nous nous trouvons. C'est parfois un point de difficulté pour suivre une intrigue à plusieurs époques.
A ce stade, je retourne avec beaucoup de plaisir lire la suite de ce roman de 395 pages.
***
Chronique finale du livre :
Au travers d'Albert, qui cherche son ancêtre, et de Thomas, son fils, qui est intéressé par sa quête, nous traversonsAu l'histoire de l'Amérique au travers de grands événements. L'histoire de Thomas Langlois, né un 29 février (qui vieillit tous les quatre ans ou pas), est originale. Sa vie est plutôt banale, et ponctuée d'événements difficile à vivre : l'abandon de son père, la mort de sa mère... Jusqu'à une mauvaise blague qui va peser sur son destin. Thomas Langlois permet au lecteur d'aller vers des sujets de société comme le racisme, du temps des indiens à celui des noirs américains.
Nous suivons les pas d'un Thomas en 1838, un des ancêtres. Le choix d'Aimé, un autre de la famille, est de vivre normalement et de ne pas se faire connaître. Par un caprice du destin, son empreinte survit aux générations. Je n'en dis pas plus, car le scénario ne se devine pas. J'aime mieux, en tant que lectrice, ne pas savoir ce qu'il va se passer. Alors, je vous laisse aller voir si vous avez envie. Mais si vous aimez les histoires familiales au milieu de moments historiques, prenez le temps de découvrir cet auteur.
Après avoir fini ce roman je reste sur une impression positive. J'avoue que j'ai aimé ce livre, qui, pour autant, même si je l'aurai parfois souhaité, n'est pas parti sur une histoire de super héros. La particularité du personnage central (rester jeune très longtemps) n'est pas utilisée pour créer une intrigue avec des supers pouvoirs ou pour avoir une vie hors norme visible.
J'ai aimé l'écriture que j'ai trouvé aboutie et mature pour un premier roman. J'ai aussi apprécié l'intrigue qui va jusqu'en 2047 ! J'écris par ailleurs, et j'ai eu envie d'écrire un autre pan, une autre vie possible à Aimé. Peut être je le ferai ou pas. J'ai d'ailleurs vu en fin de l'ouvrage que l'auteur avait emprunté certains personnages à d'autres écrivains, avec leur consentement. J'aime cette idée et que cela se soit réalisé. Le rebond d'une intrigue pour en écrire une autre. Génial !
L'ayant apprécié, je garderai ce livre dans ma bibliothèque
#Explolecteurs - Rendez-vous de la page 100 :
Un premier roman québecois que je trouve réussi pour le moment malgré quelques petites longueurs. Le quatrième de couverture est très intrigant : "Trois années sur quatre, Thomas Langlois n'existait pas". Il est en effet né un 29 février et ne vieillit qu'une fois tous les quatre ans, ce qui donne une petite dimension fantastique au roman et une bonne dose de mystère surtout...
Cette fameuse page 100 marque la fin de la première partie du livre (belle coïncidence !). Et, en ayant déjà jeté un œil à la suite, on va y suivre Albert sur les traces de ce mystérieux aïeul, Aimé lui aussi né un 29 février, qui traverse les époques d'une Amérique tourmentée. Rendez-vous dans 300 pages !
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Chronique finale Explorateurs de la rentrée :
Quelle belle surprise de recevoir ce premier roman québécois pour les Explorateurs de la rentrée littéraire ! J’aime beaucoup la littérature de cette belle province canadienne et j’avais hâte de le découvrir.
L’histoire est assez originale et l’idée de départ est certainement la force de ce roman. Le héros, Thomas Langlois, est né un 29 février comme son aïeul Aimé Bolduc. Ce dernier a une existence particulière : il ne vieillit que tous les quatre ans, lors de son « vrai » anniversaire. Dès lors, le père de Thomas, Albert Langlois, se demande si son fils aura le même destin et part sur les traces de ce fameux ancêtre.
Plusieurs thèmes s’entremêlent dans ce roman très riche : la famille, l’histoire des États-Unis et du Québec mais aussi le temps qui passe. Dans la première partie, l’auteur raconte la vie du jeune Thomas Langlois dans les années 90 aux États-Unis. Il comprend qu’il n’est pas tout à fait comme les autres mais on n’en sait pas beaucoup plus à ce stade. Cette partie se termine par un terrible événement pour Thomas dans un climat tendu entre les différentes communautés ethniques de la ville. Malgré quelques difficultés à rentrer dans le livre et les quelques longueurs du début, je me suis attachée au personnage de Thomas et j’ai rapidement voulu en apprendre davantage sur sa destinée particulière.
Dans la seconde partie, l’auteur délaisse complètement Thomas pour se concentrer sur l’histoire d’Aimé Bolduc. On parcourt alors trois siècles d’histoire de l’Amérique avec bonheur en passant d’une époque à l’autre, sans pour autant être complètement perdu. J’ai adoré les scènes de guerres, violentes et parfaitement décrites avec des affrontements terribles sur plusieurs pages ainsi que les passages sur le combat des Noirs américains pour leurs droits. J’ai donc beaucoup aimé l’atmosphère de cette seconde partie d’autant plus qu’elle est servie par une écriture poétique et recherchée, ce qui ne gâche pas le plaisir ! De plus, la touche fantastique surprenante se mêle habilement au réel et c’est plutôt agréable.
Dans la dernière partie, on retrouve avec plaisir Thomas si bien que les derniers chapitres auraient mérité d’être un peu plus longs. J’ai tout de même été surprise de retrouver des dialogues en anglais (peu nombreux, je vous rassure) qui n’étaient pas traduits mais, personnellement, cela ne m’a pas gênée.
Bref, après un début un peu difficile, je me suis peu à peu plongée dans l’histoire et je l’ai savourée avec plaisir jusqu’à la dernière page. Un auteur à découvrir !
Rendez-vous de la page 100 #Explolecteurs : Un roman vers lequel je ne me serais pas tourné, qui est hors de ma zone de confort. Pourtant, je suis tombée dedans tout de suite. Le 1er chapitre nous fait voyager jusqu'en Ohio, dans les terres indiennes, les ancêtres de notre personnage principal : Thomas Langlois, jeune garçon touchant, solitaire, qui décortique et analyse tout ce qui l'entoure. À la page 60, je poursuis ma lecture avec entrain, faisant connaissance avec les parents de Thomas, Laura et Albert. Thomas nous explique leur rencontrent, puis nous raconte ses grands-parents, qu'il va voir pour la première fois dans de triste circonstance. Il va se passer beaucoup de choses pour Thomas, qui va frôler la catastrophe et apprendre une nouvelle qui va, je l'espère, changer pas mal de choses. Comme la vie est bien faite, la page 100 signe la fin de la première partie. Avec cette fameuse 100e page, je ne sais pas où tout ça va me mener, mais l'écriture poétique et sensible de l'auteur m'a déjà conquise.
Chronique complète #Les ExploLecteurs : Une très belle découverte pour ce roman que je n'aurais pas sélectionné moi-même. J'ai eu le plaisir de recevoir ce livre et de rencontrer Thomas Langlois et l'histoire de ses ancêtres. Le roman débute en 1838, avec la déportation des Indiens vers les terres de l'est. Nous comprendrons plus tard le lien entre ce début de roman et l'historique de la famille Langlois.
Le roman est divisé en trois parties. On commence avec la rencontre de Thomas, ses parents, et ses grands-parents. Sa mère Laura, bibliothécaire, qui lui décrit une famille qu’il ne connaît pas, mais qu’il sera amené à rencontrer dans de tristes circonstances. Ses grands-parents, qu’on lui a décrits froids et distants, mais qu’il trouve tendres, malgré leurs opinions bien arrêtées. Et puis son père Albert, qui va partir à la recherche de son ancêtre. Il va nourrir une obsession pour Aimé, un personnage que nous allons suivre dans la deuxième partie du roman. Le père de Thomas va passer sa vie à chercher des indices et des preuves sur la vie de son ancêtre, passant par des phases d'angoisse et de découragement. Son idée fixe et son entêtement vont le conduire à un secret fascinant.
Comme je l'ai déjà souligné, ce n'est pas mon style de lecture. Je ne suis pas forcément à l'aise avec les descriptions historiques et je me suis perdue dans certains passages qui passent d'une époque à une autre, ou dans des descriptions assez nombreuses.
J'ai eu quelques difficultés au départ, avec le père de Thomas, que je trouvais lâche d'abandonner sa famille pour une quête dénuée de sens avant d’évoluer en père attentionné essayant de se faire pardonner toutes ses années d'absences. Il essaie de transmettre à son fils l'histoire de sa famille, d'expliquer ses recherches et découvertes, ce qui guidera Thomas le moment venu.
L'écriture de l'auteur m'a envoûtée, dans un style mystique, rempli d'énigmes, de croyances. L’auteur s’adresse à nous directement, nous incluant dans l’histoire de ses personnages. Il m’a fait découvrir des moments historiques que j’ignorais, notamment pour les Indiens et leur exil. On voyage beaucoup, entre le Canada et les Etats-Unis, en passant par l’Ohio et les montagnes des Appalaches. On découvre des paysages magnifiques, des saisons différentes et des personnages attachants.
Je me suis plongée dans cette famille hors norme, essayant de comprendre le sens de la quête d’Albert, et les conséquences dans la vie de son fils. J’ai été touchée par leur parcours, leurs faiblesses, et par le destin de Thomas. C’est une très belle trouvaille, pas totalement un coup de cœur, mais une très belle rencontre et une histoire de vie intrigante et passionnante que je suis ravie d’avoir lue. Je m’obligerai, la prochaine fois, à revoir mes préjugés pour un roman qui me paraîtra hors de portée.
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