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Une soirée ordinaire, fin décembre à new York. Joan didion s'apprête à dîner avec son mari, l'écrivain John gregory dunne - quand ce dernier s'écroule, victime d'une crise cardiaque foudroyante. Pendant une année entière, elle essaie de se résigner à la mort de son compagnon et de s'occuper de leur fille, gravement malade. dans un récit sobre et sans complaisance, l'auteur raconte la folie du deuil et dissèque, entre sécheresse clinique et monologue intérieur, une expérience indicible - et sa rédemption par la littérature. Best-seller encensé par la critique aux États-unis, L'Année de la pensée magique, déjà considéré comme un classique, a été couronné par le national Book Award. Un livre bouleversant sur le deuil. Son deuil. Un style sans pareil, où même les larmes sont sèches. Claude Arnaud, Le Point.
Tout commence toujours par une journée ordinaire. Et tout bascule en une fraction de seconde. Un désastre, un accident, la mort d’un être aimé. Juste avant tout était banal.
Joan Didion nous livre dans ce livre sa véritable histoire sur la mort subite de son mari. Un soir, au cours d’un repas. Il était en train de lui parler et puis plus rien. Avachi, immobile. Crise cardiaque.
« La vie change dans l’instant ». Un instant qu’on n’oublie jamais.
Sans tomber dans le patho, elle nous explique son deuil, les différentes phases par lesquelles elle est passée, sa douleur, ses questions, ses interrogations, sa culpabilité, sa relation aux autres, ces petites choses qu’elle remarque après et qu’elle ne voyait pas avant, sa fusion avec son mari écrivain aussi, ses souvenirs avec lui, …
Son histoire est d’autant plus touchante que seulement 5 jours avant que son mari décède, leur fille venait d’être hospitalisée en urgence et était plongée dans le coma avec son pronostic vital engagé. Une sévère grippe qui a dégénérée en pneumonie avec choc septique.
Elle perd son mari et ne sait pas ce qu’il va advenir de sa fille, mariée depuis seulement 4 mois.
Vont s’ensuivre des journées compliquées pour Joan Didion entre les démarches des funérailles repoussées afin que sa fille puisse y assister si elle s’en sort et l’inquiétude à son sujet.
Difficile moment aussi que d’annoncer à sa fille, Quintana, à son réveil, que son père est parti pendant qu’elle était dans le coma et qu’elle ne le reverra plus.
Difficile aussi les différentes rechutes qu’elle va faire et ses nouvelles hospitalisations d’urgence parce que son corps n’arrive pas à se remettre.
Une histoire qui m'a émue, et ce d’autant plus que je sais que Joan Didion a écrit un autre livre après celui-ci, consacré à sa fille Quintana qui décèdera à son tour peu de temps après.
Joan Didion avec cet ouvrage nous faire part d'un moment difficile de sa vie. Alors que sa fille, tout juste mariée, est dans le coma et qu'elle est hospitalisée non loin de chez elle, son mari décède brusquement. Elle va donc, tout au long de l'année qui suit, essayer de faire son deuil. Ce récit est le récit de cette démarche et sera l'objet de réminiscences des moments vécus avec sa fille et son mari mais aussi son besoin de comprendre la maladie.
J'avoue ne pas avoir été sensible à sa quête car pour moi cela relève trop du personnel et n'a pas besoin d'être étalé. Je comprends cette démarche d'écriture mais pas le besoin de la publication.
J'ai donc écourté la lecture car je n'ai ressenti que de l'ennui et n'ai pas réussi à avoir de l'empathie pour elle.
Drame réel de la vie quotidienne ; Joan Didion, voit son mari, l’écrivain John Gregory Dunne, s’écrouler et tomber, lors d’un dîner ; victime d’une attaque coronarienne subite et foudroyante.
Nonobstant cette tragédie, Quintana, leur fille unique et adoptée, se trouve dans une unité de soins intensifs, entrée pour une grippe hivernale, il s’avère qu’elle a une pneumonie avec choc septique…
S’ensuit une période d’un an – l’année de la pensée magique – où l’affliction, fait place à la recherche de sa paix intérieur. Fuir les regrets de multiples projets avortés, admettre réellement, la douleur, la détresse. En finir avec le face à face avec la mort, évacuer le choc, l’hébétude et l’incrédulité…
Sans nul doute, qu’il s’agit là d’une grande perte, d’épreuves, pour Joan Didion, après 40 ans de mariage, et de complicités intellectuelles. L’écriture de ce roman participe à exorciser le drame qu’elle a subi, d’autant que sa fille décédera deux après celui de son mari…
L’année de la pensée magique se rapproche, me semble-t-il, – journal intime ? – du moyen de surmonter ainsi ces indicibles épreuves.
L'action se passe sur une année et l'auteure nous livre ses émotions, ses ressentis, ses perditions du jour de la mort de son mari jusqu'à l'année suivante.
Ici pas d'apitoiement,pas de "chouinements" Joan Didion raconte tout le trouble, le manque, la divagation, le flottement qui survient après/avec la tragédie.
C'est bien écrit, on ne voit pas le temps passé.
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