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La voix du violon

Couverture du livre « La voix du violon » de Andrea Camilleri aux éditions Pocket
  • Date de parution :
  • Editeur : Pocket
  • EAN : 9782266115681
  • Série : (-)
  • Support : Poche
Résumé:

Vigàta, Sicile... Alors qu'ils se rendent à un enterrement, le commissaire Montalbano et l'un de ses hommes emboutissent une Twingo garée près d'une villa. Sous un essuie-glace de la voiture, Montalbano laisse le numéro de téléphone du commissariat. Le soir, le papier étant toujours là, il... Voir plus

Vigàta, Sicile... Alors qu'ils se rendent à un enterrement, le commissaire Montalbano et l'un de ses hommes emboutissent une Twingo garée près d'une villa. Sous un essuie-glace de la voiture, Montalbano laisse le numéro de téléphone du commissariat. Le soir, le papier étant toujours là, il décide d'aller voir si la villa est habitée. Montalbano y découvre le cadavre d'une jeune femme qui avait beaucoup d'amis, trop de bijoux, et possédait à son insu un violon inestimable.
L'humour et la rage ne seront peut-être pas suffisants pour découvrir un meurtrier retors. Mais le commissaire a d'autres ressources...


@ Disponible chez 12-21 L'ÉDITEUR NUMÉRIQUE

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  • Les erreurs judiciaires sont souvent la cause du ralentissement d’une enquête. Elles sont le résultat d’une méprise, d’une négligence ou alors d’un réseau de circonstances qui les rend inévitables. La police italienne (en l’occurrence, celle de Vigata, une petite ville imaginaire de Sicile)...
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    Les erreurs judiciaires sont souvent la cause du ralentissement d’une enquête. Elles sont le résultat d’une méprise, d’une négligence ou alors d’un réseau de circonstances qui les rend inévitables. La police italienne (en l’occurrence, celle de Vigata, une petite ville imaginaire de Sicile) n’échappe pas aux pressions de la hiérarchie, des médias, sans parler des guerres d’égos au sein de l’organisation. Il y a les policiers du commissariat et la Criminelle (pour une fois, les carabiniers n’entrent pas dans la danse). Et c’est dans ce milieu professionnel qu’évolue Salvatore Montalbano ; il n’échappe à personne que son prénom veut dire « sauveur ». Mais cette fois-ci, lors de l’enquête, il baisse les bras (il a l’esprit ailleurs) et l’erreur judiciaire se produit. Il lui faudra donc ruser pour parvenir à récupérer l’enquête et, finalement, démasquer le coupable pour le pousser dans ses derniers retranchements.
    Comme d’habitude, Andrea Camilleri profite de l’intrigue policière pour nous peindre le portrait d’un homme honnête, faisant son boulot avec sincérité mais qui rééquilibre les événements qui ne lui plaisent pas. Et au-delà de Montalbano, c’est le portrait d’une société où la corruption, le jeu d’influences, la Mafia jouent un rôle important.

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