"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Nos vies de fourmis se résument, en apparence, à quelques dates. Les bonheurs comme les malheurs les fondent et les structurent patiemment, apportant au fil des années, le terreau qui donnera plus tard, plus ou moins de fruits... [...] Même si la pudeur à divulguer la mort tragique de mon père en 1984 fut longtemps un frein à mon désir d'écriture, tout comme les traces d'une éducation où la discrétion prévalait sur l'expression, la nécessité s'impose avec vigueur à présent. Je peux enfin poser les mots sur ces années douloureuses et traumatisantes, et sur ce qui a structuré ma jeunesse puis ma vie future, en lui donnant tant de nuances de noir, de gris et de couleurs aussi. » La traversée relate le choc du traumatisme, l'absence douloureuse d'un père et le silence mortifère qui recouvrit le drame. Quarante ans plus tard, l'autrice dévoile aux lecteurs un témoignage poignant et universel, offrant un large écho à la violence du monde actuel, et à la nécessité d'éduquer les consciences pour tenter de faire encore société aujourd'hui.
Son récit est un vibrant hommage à la figure paternelle et un plaidoyer sur l'amour, le courage et la résilience.
Mariée et mère de deux enfants, Colette Riboulet-Pilandon exerce en tant que masseur-kinésithérapeute à Chamalières depuis trente ans. Curieuse, elle cultive de multiples passions dans la vie, et publie à présent, son premier ouvrage.
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