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Le présent volume poursuit l'analyse de la transcendance commencée en 2021 et la pousse jusqu'à notre théâtre immédiatement contemporain. Apparaissent des glissements et des ruptures plus graves que symbolise la proclamation du Gai Savoir de Nietzsche : « Dieu est mort ».
Les genres traditionnels, la tragédie et le mélodrame, ont toujours plus ou moins à voir avec la transcendance. La pensée métaphysique du drame romantique est loin d'être homogène : persistance d'une pensée religieuse, mais prise de distance plus avérée à l'égard du divin. Pour leur part, la fin du XIXe siècle et le début du XXe siècle opposent nettement d'un côté le naturalisme avec son refus du divin, et le théâtre bourgeois, généralement à ras de société ou avec une religiosité de surface, et de l'autre les aspirations spiritualistes plus ou moins religieuses et plus ou moins vagues du mouvement symboliste. Une quatrième étape est dédiée à l'impressionnant regain du théâtre chrétien et spécifiquement catholique, avec un Claudel qui impose et expose massivement sa foi en la transcendance divine, mais aussi avec une brochette de dramaturges moins géniaux, mais profondément croyants. La dernière étape, la plus proche de nous, montre un théâtre qui commence par discuter, contester ou nier toute transcendance, avant de la tourner en dérision, puis de l'éliminer complètement.
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