Dans ce roman, ce sont les femmes qui sont soumises, pas les hommes. « Roman », en effet, puisque l´auteur est foncièrement un soumis. Néammoins, si la plupart des péripéties sont imaginaires, le fond de son histoire n´en repose pas moins sur un socle « réaliste ». Il ne s´agit pas d´un de ces contes de fées S.M. qui encombrent les vitrines des libraires spécialisés, où des fantoches habillés de cuir se livrent à de fastidieuses (et peu crédibles) parodies.
L´auteur à largement puisé dans les confidences d´un authentique dominateur.
Je ne vous dirais pas de quel bar de la rue de Lappe il est question dans son roman (tous les noctambules « branchés » de Bastille le reconnaîtront sans peine).
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