Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Si l'art de Florence vaut par son exigence intellectuelle, son amour du dessin, le rayonnement de ses formes, celui de Venise se distingue par son opulence et la sensualité de ses couleurs, directement tributaires de l'art byzantin dont il est l'héritier. Dans cette histoire très vivante de l'école vénitienne, John Steer s'attache à en analyser la singularité et à en suivre les développements entre le XIVe et le XVIIe siècle.
Dès le XVe siècle, avec les Bellini, les peintres vénitiens s'employèrent à utiliser l'espace, la lumière et la couleur comme autant d'instruments dramatiques - ce que démontre à loisir l'oeuvre d'un Titien, d'un Tintoret ou d'un Véronèse. Avant que cette tradition ne disparaisse avec le dernier Doge, sous la domination napoléonienne, et en dépit d'un certain fléchissement au cours du XVIIe siècle, l'art de Venise devait connaître une ultime et somptueuse florison avec l'art des grands vedutistes - comme Canaletto ou Guardi - et la fascinante dynastie des Tiepolo.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle