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Les essais qui composent ce recueil forment une ellipse autour des deux foyers de l'intériorité et de l'au-delà, intimement solidaires, car mourir, c'est rentrer en soi-même.
La mémoire est la faculté précieuse entre toutes, la gardienne de l'invisible, et non pas le gibet des pendus et la galerie de spectres que le jeune Hegel a indûment maudits. Et l'invisible, l'autre monde ou le monde prochain, comme disent les Anglo-saxons, s'alimente à la nappe de souvenirs et d'espoirs que détient la conscience qui signifie mémoire. Les rêves servent en quelque sorte d'intermédiaires, et l'on a prêté attention à l'oniromancie du merveilleux dialogue Clara de Schelling.
L'inspiration augustinienne du volume prend pour fil conducteur le talisman novalisien du chemin mystérieux qui va vers l'intérieur. D'autres mystagogues de la survie ont guidé la recherche et la méditation, Goethe, Newman, Rilke, Gabriel Marcel... tandis que Dostoïevski, érigeant la tragédie du destin historique, faisait contrepoids à la nostalgie d'Orphée. D'une façon générale on s'est efforcé de réveiller les intuitions si profondes, si inactuelles, de quelques grands témoins, et de rattacher à une lancinante anamnèse le poignant regret des jours qui ne sont plus.
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