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À vingt-cinq ans, Jérémie Rex, boulanger à Arcachon, est entré dans un tableau de Magritte. Là, il a retrouvé pendant quatre minutes trente la femme de sa vie, au temps où elle l'aimait encore... Mais comment recréer le bonheur dans la réalité ? D. V. C.Cauwelaert tire comme un chef sur son calumet onirique et contrôle son hors-piste dans le vaudeville métaphysique. Patrick Grainville, Le Figaro littéraire.Avec cette fable contemporaine impeccablement ciselée, le romancier nous invite à profiter de notre sursis sur terre pour réparer notre vie. François Busnel, L'Express.
Jérémie, mis en quarantaine par Candice, l’amour de sa vie, est à Venise où il admire un tableau de Magritte, « L’empire des lumières », lorsqu’il est littéralement aspiré par celui-ci.
Il se retrouve à l’intérieur de la maison peinte, et là, revit l’amour intact de Candice.
Ma critique est vraiment en demi-teinte. Après un début poussif, avec des personnages qui manquent un peu de relief, l’intérêt arrive quand Jérémie entre dans le tableau de Magritte.
Mais après, toutes les expériences qu’il tente pour renouveler cet évènement sont un peu tirées par les cheveux.
Reste le côté agréable et sympathique de l’écriture de Didier Van Cauwelaert, qui reprend ici un de ses thèmes favoris, une vie parallèle, mais ça ne suffit pas à en faire un livre inoubliable.
Ceci dit, il a eu le mérite de me faire faire des recherches sur Magritte
La voix principale est agréable même si les changements pour interpréter les personnages secondaires sont surprenant voire tout à fait excentriques.
C'est une étrange aventure dans laquelle nous entraîne l'auteur aux confins de l'esprit, où se mêlent amour et art, expérience hors du corps et recherche historique. Même si la fin est assez banale, le déroulé de l'histoire nous mène de surprises en surprises avec des personnages décalés, souvent blessés.
Pas attérré comme vous Dominique. Mais je crains que DVC ne tombe dans une certaine facilité, comme d'autres avant lui qui exploitent un filon qui "rapporte".
Dans un commentaire d’ouverture sur ce livre, j’ai écrit : « ça peut être bien ». Cet avis trop rapide se fondait sur la notoriété de l’auteur et un vieux souvenir de lecture de l’un de ses premiers livres (que je ne retrouve pas dans ma bibliothèque). Entre-temps j’ai creusé un peu (merci Internet) pour me rendre compte que Didier van Cauwelaert était dédaigné par la critique parisienne (et les académiciens) et accusé d’écrire des livres faciles, toujours imprégnés du même surnaturel – un fonds de commerce comme le dit dans un commentaire précédent Yves Mabon, du jury internaute. Du surnaturel, oui… Encore ! Mais fondé sur un tableau, l’Empire des Lumières, de René Magritte, génie belge de la peinture Surréaliste, tableau que j’ai eu le bonheur de voir à Venise dans le cadre du musée Guggenheim (décrit avec beaucoup de précision dans le roman).
J’ai abordé le livre lesté de ce bagage balancé. Et j’ai rapidement butté dans les pages 30 sur deux phrases rédhibitoires – « Je refuse la chimio de l’oubli » et « Il lit les sous-titres dans mes yeux », comme on butte sur une pierre cachée sous un galure (un chapeau de Magritte ?) avant de se casser la pipe. Le livre m’est tombé des mains ! Comment un écrivain (un auteur) réputé peut-il écrire de telles harlequinades ? A terre… atterré, je me sens solidaire de la critique parisienne (et des académiciens - qui ont élu François Weyergans, un bon écrivain).
Bravo, M Léger, pour votre sélection au jury! J'aime lire vos remarques toujours pertinentes et argumentées. Je n'aurai pas le plaisir de vous rencontrer puisque, hélas, je ne fais pas partie des sélectionnés. Mais au fait! Que font les autres membres du jury? Je n'ai pas vu beaucoup de leurs commentaires!
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