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Colette Berthès (avec Bernard Fillaire) revient dans La Machine à tuer sur la condamnation à mort et l'exécution d'Odell Barnes qui clamait son innocence. Elle raconte ces quatre ans durant lesquelles l'association « Lutte pour la Justice » s'est battue aux côtés d'Odell, soutenue par des centaines d'adhérents et par une solide équipe de défense au Texas, jusqu'à son exécution, le 1er mars 2000.
A travers son histoire, c'est le parcours banal de tous les condamnés à mort des Etats-Unis qui est raconté ici. La justice nord-américaine y est dévoilée : système compliqué qui exige des avocats très pointus ; système onéreux où classe sociale et richesse sont plus importantes que culpabilité ou innocence ; système faussé où juges, procureurs et policiers restent dépendants du politique.
L'histoire est toujours actuelle malgré de nouvelles lois, le progrès des tests ADN et l'action militante des Projets Innocence. Moins de condamnations à mort, mais plus de condamnations incompressibles à vie. Et ce sont toujours les mêmes, les pauvres, qui en sont les victimes.
Réédition revue et enrichie. Préface de Philip Wischkaemper, avocat pénaliste texan.
Postface de James Edmond McWilliams, condamné à mort en Alabama.
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