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À la 23e World Rose Convention, en Australie, le narrateur, journaliste français dans un magazine d'art de vivre, et Barbara, reporter allemande du Die Berliner, vont éprouver la même fascination pour la présidente de l'événement, May de Caux. Cette Française au charme insolite cache une part d'ombre qu'ils vont bientôt découvrir : le passé douloureux qui la hante. De leur complicité grandissante va naître le projet d'un livre. Reste à vaincre les réticences de May, ancienne résistante et déportée.Pour Barbara, jeune femme d'une autre génération, pour l'indispensable transmission, elle va consentir à raconter : Ravensbrück à dix-huit ans, la souffrance, les amitiés, les petites joies et les grandes difficultés. Et l'après, le corps qui a perdu la mémoire de la tendresse, malgré l'attention de son mari, Paul. La vie de femme bouleversée. « Je sais que Paul devine les ombres qui ne me quittent pas, sur lesquelles personne n'a de prise. Notre harmonie n'est pas complète. Une partie de moi se refuse. Je lui donne la plus belle, la plus aimable. Il connaît le combat que je mène depuis vingt-cinq ans contre les fantômes. »Et puis, il y a le souvenir de cette rose cueillie à Ravensbrück, improbable éclat coloré dans le gris funeste, la beauté dans la monstruosité à l'origine de sa renaissance. May est passée de l'horreur à la délicatesse des fleurs, et à l'amour.Le livre s'appellera La Douceur.
Un roman qui nous raconte comment une femme qui jusqu’alors refusait d’aborder le sujet de son passé, se confie à deux journalistes rencontrés à la Convention de la Rose en Australie.
May de Caux, présidente de cette convention, a connu l’horreur des camps de concentration. Elle était prisonnière politique. Elle va avec une immense pudeur apprendre à faire remonter ses souvenirs à la surface, se lier d’amitié avec ces deux journalistes et leur parler de sa vie, de ses amitiés qui l’ont sauvée et d’une rose qu’elle a cueillie à Ravensbrück.
C’est un livre aussi doux que son titre malgré la violence et les privations qu’a connues May.
C’est l’histoire d’une reconstruction, de la confiance comme moyen de se sauver.
J’ai beaucoup aimé ce roman aux personnages fictifs, aux nombreuses références historiques et littéraires, apprécié cette plume élégante, pudique et douce.
Un roman qui vous fera croire en l’Homme.
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