Cet ouvrage dans lequel la définition aristotélicienne du bonheur est traitée, essaie de déterminer la définition du bonheur par ses composantes qui sont l'activité, l'âme et la vertu. Le bonheur est une activité de l'âme en accord avec la vertu. La puissance de réaliser une activité, n'est pas suffisante pour être heureux. De la même manière, le bonheur est une activité de l'âme, il n'est pas celle du corps. Ainsi, le bonheur se rapporte à l'activité conforme à la vertu, il ne s'agit donc pas d'être heureux par des activités automatiques qui sont liées aux habitudes. Dans ce contexte, les composantes du bonheur qui sont nommées activité, âme et vertu sont fortement liées les unes aux autres. L'exemple du jeu d'échecs vient affirmer cette relation et engager un discours précisément orienté sur les trois composantes mentionnées.
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