Si certaines sont impressionnantes et effrayantes, d'autres sont drôles et rassurantes !
« La Cousine Bette est singulière dans la carrière littéraire de Balzac. Sa publication a été accueillie par un succès comme le romancier en avait peu connu. Certes, nombre de ses romans avaient reçu un accueil chaleureux (La Peau de chagrin, Eugénie Grandet), mais il s'agissait en 1846 d'un public nouveau, élargi, celui du feuilleton-roman qu'il n'avait pu encore vraiment conquérir. Le succès de ce roman se poursuit dans la seconde moitié du siècle, et il sera souvent réédité de manière séparée. La question de la manière dont il a été lu, dont il peut l'être encore, est donc centrale et nous servira de guide. Il n'est pas vraiment conforme à l'image que le lecteur actuel se fait du roman "balzacien", image faite de traits stéréotypés mais attestés : longues descriptions, digressions didactiques nombreuses, rythme statique puis dénouement rapide. Un rythme tendu s'impose d'emblée, les mécanismes du drame se mettent en marche implacablement, tout en générant sans cesse des retournements de situation, des accroissements de noirceur et de malheur, en même temps que des situations comiques ou grotesques. » Joëlle Gleize.
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Caraïbes, 1492. "Ce sont ceux qui ont posé le pied sur ces terres qui ont amené la barbarie, la torture, la cruauté, la destruction des lieux, la mort..."
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