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«Indiana raconte l'histoire d'un sujet qui cherche à devenir un individu, dans la souffrance, et qui renonce à toute vélléité d'existence, brisé par le manque de liberté. Mais Indiana est surtout un roman qui joue du romanesque, noir ou blanc, pour dénoncer une certaine forme d'impossibilité du romanesque. Le romanesque d'Indiana n'est pas viable, et son histoire tourne court, commentée et achevée dans l'antiroman du mythe. Indiana est ressortie de l'Histoire, définie comme une perception individuelle du temps collectif, au moment même où elle y entrait : son destin avorte dans la non-résolution. La conclusion d'Indiana n'emprunte à l'utopie que sa poétique et le cadre de son énonciation : ce n'est pas une fin heureuse, mais une fin irrémédiablement inscrite dans la mélancolie des sujets et des choses, dans le renoncement à la passion, impossible avec un être comme Raymon, mais aussi avec Ralph, et au romanesque.» Éric Bordas.
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