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Histoire de Skanderbeg, héros de l'Europe chrétienne

Couverture du livre « Histoire de Skanderbeg, héros de l'Europe chrétienne » de Camille Paganel aux éditions Trident
  • Date de parution :
  • Editeur : Trident
  • EAN : 9782848800349
  • Série : (-)
  • Support : Papier
  • Nombre de pages : 398
  • Collection : (-)
  • Genre : Histoire
  • Thème : Histoire
  • Prix littéraire(s) : (-)
Résumé:

Début des Temps modernes, l'année 1453 marque à la fois la prise de Constantinople par les Turcs, la découverte de l'imprimerie, et, en occident, la victoire française de Castillon.
Gutenberg se connaît alors un héroïque contemporain en la personne de Skanderbeg (1403-1468). Ce prince albanais,... Voir plus

Début des Temps modernes, l'année 1453 marque à la fois la prise de Constantinople par les Turcs, la découverte de l'imprimerie, et, en occident, la victoire française de Castillon.
Gutenberg se connaît alors un héroïque contemporain en la personne de Skanderbeg (1403-1468). Ce prince albanais, héros de l'Europe chrétienne arrêta les Turcs à l'Adriatique.
Après lui, l'Europe baroque durera jusqu'en 1792. Notre famille de peuples avait conscience d'un ennemi commun, maître de la Méditerranée, oppresseur des chrétiens : l'Empire ottoman. Les circonstances historiques et politiques évoluent. D'autres faits géographiques et culturels demeurent.
Quand Camille Paganel, publie, en 1855, son Histoire de Skanderbeg, la France, aux côtés de l'Angleterre, mène une étrange croisade en mer Noire, la guerre de Crimée (1853-1856), pour empêcher la Russie de tailler en pièces l'Empire ottoman et de s'emparer des Détroits. Cette situation semble à notre auteur contradictoire avec sa propre connaissance de l'Histoire.
Un siècle et demi plus tard, nous avons vu se développer d'autres rapports de forces, notamment entre la Russie et la Turquie, etc.
D'autres constantes se dégagent, y compris dans les tergiversations dommageables des Européens.
Chaque nation semble ainsi condamnée à se sauver elle-même, ou à périr seule, quitte à voir, après coup, la réaction éplorée de la famille européenne, on disait autrefois la République chrétienne, lorsqu'elle prend conscience de la perte subie.

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