La qualité des bénéfices, la transparence des mécanismes financiers et la gestion des risques: la gouvernance doit faire preuve de leadership et de vision afin de favoriser un environnement propice aux investissements, tout en assurant son rôle modélisateur de la capacité productive de l'économie mondiale. L'auteur analyse ici, en partant de l'investissement sectoriel, le financement stratégique, afin de mieux comprendre quel mécanisme de régulation économique serait susceptible de soutenir la progression équilibrée des pays. Il invite à réfléchir aux mesures de soutien que la gouvernance publique internationale serait susceptible d'adopter pour y remédier. De là, il, se demande quels sont les systèmes de stabilisation du système et quelles propositions pour améliorer la régulation financière internationale? Car, au fond, n'est-ce pas, parce que, par nature, il est rare que l'action publique réunisse « les attributs » que l'on s'accorde pour affirmer l'intérêt de son évaluation? Il est dès lors, légitime de s'interroger sur les chances de succès de l'outil et sa capacité à prévaloir sur les forces qui font que, souvent, l'action internationale n'est ni rationnelle, ni transparente.
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