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Première grande rétrospective parisienne depuis son exposition en 1956, au musée national d'Art moderne, Germaine Richier (1902-1959) est pourtant l'un des plus grands sculpteurs du xxe ?siècle. Quelque peu délaissée, elle a pourtant créé, en à peine 25 ans, une oeuvre d'une très grande force.
Après des études à l'école des Beaux-Arts de Montpellier, elle rejoint Paris, où elle devient l'élève d'Antoine Bourdelle. Son oeuvre est alors relativement classique, contrastant avec les oeuvres à venir. L'artiste a connu les tourments des deux guerres mondiales et a été profondément touchée par les tragédies qui en découlent et son oeuvre s'en fait l'écho. Ainsi dès 1940, elle réalise Le Crapaud, qui annonce une esthétique nouvelle où se mêleront mondes animal, humain et végétal. Dès 1946, ses sculptures se parent d'armatures de fils métalliques se nourrissant d'éléments de la nature (pierres, morceaux de bois ou objets récoltés sur les plages). Enfin, dans les années 1950, elle expérimente de nouvelles techniques dans ses expressions plastiques en introduisant de la cire, du plâtre ou du plomb...
Beaux arts Éditions montre l'originalité de sa démarche artistique et la singularité de son langage plastique.
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