Le thème de la vie familiale transfrontalière dans le contexte Camerounais a été largement ignoré par les chercheurs; en utilisant la méthode de l'histoire orale, je me concentre sur la création de sens autour de la parenté des femmes migrantes camerounaise. La plupart des travaux d'érudition autour de ce sujet a souvent reflété l'idée que la migration des femmes conduit à la désintégration de la famille et les enfants souffrent d'un un déficit de soins. Basé sur les recherches que je faisais à Cape Town, Afrique du Sud, je soutiens que la migration des femmes camerounaises à Cape Town, Afrique du Sud ne conduit pas à la désintégration de la famille et les enfants laissés en arrière ne souffrent pas d'un déficit. Au contraire, les femmes ont négocie leur familles laissées derrière. En obtenant un permis de résident en Afrique du Sud, d'inviter leurs enfants et les membres de la famille à se joindre à eux, ce qui contribue aviver la maternité d'une autre manier tout en maintenant la perception hégémonique d'être les principales dispensatrices de soins a leur enfants.
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