Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Le dix-huitième siècle est le siècle où la légitimité du roman est le plus contestée ; c'est aussi celui où l'on s'interroge avec le plus d'acuité sur la nature du genre. Le siècle des Lumières feint de ne s'en tenir à aucune définition suffisante et rassurante de cette fiction en prose qu'on affecte de ne pas nommer roman. La qualité de la substance romanesque et celle du récit, leur densité et leur intensité se manifestent en raison de deux effets complémentaires : selon que l'oeuvre touche et qu'elle donne à penser, émotion et signification (laquelle peut ne consister, ce n'est pas la pire hypothèse, qu'à susciter le besoin d'un sens). Henri Coulet fait accéder à la nature du roman : en passant par les leçons du « remodelage », le démontage des fausses utopies, les tentatives illusoires de formatage du « conte moral », la confrontation « en miroir » du roman libertin et du roman édifiant, l'examen des effets de la Révolution sur la fiction romanesque.
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