Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Ce livre fait le point sur les principaux débats qui agitent didacticiens, pédagogues et enseignants d'histoire, et prend en compte les avancées didactiques qui existent en France et hors de l'hexagone.
Ce livre a bien évidemment des partis-pris et l'auteur les annoncent au lecteur. Un parti-pris philosophique qui repose sur le pari que l'échec des élèves comme celui des enseignants n'est en rien une fatalité, qu'il ne peut être que passager pour peu que les uns et les autres le décident. Un parti-pris constructiviste qui refuse que l'histoire scolaire soit limitée à la seule activité de mémorisation qui constitue, à son sens, la négation même de la Mémoire qui, au contraire, est tissée des interrogations que les élèves, en l'espèce, ont la capacité de poser au passé à condition que les représentations qu'ils en ont soient au centre du travail pédagogique.
Le premier débat est centré sur la question de la finalité de l'histoire scolaire.
Pour ce faire, l'histoire scolaire doit se poser la question de pratiques, et c'est notre deuxième débat, qu'elles soient cohérentes avec le but visé.
Pourquoi reposer la question du récit ? Parce que, et c'est le troisième débat, malgré son retour en grâce, la nature et la fonction de l'histoire scolaire ne peuvent ignorer l'usage des concepts.
Notre quatrième débat porte sur la cohérence des pratiques et des objectifs assignés à l'histoire scolaire.
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