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« Les dessins reproduits dans ce livre datent de 1963 ou 1964. Ahmed Bouanani a 25 ans. Il revient de deux années parisiennes au cours desquelles il s'est formé au cinéma. Bientôt il intégrera le CCM (Centre cinématographique marocain) où il effectuera une longue carrière de monteur et d'archiviste. Mais auparavant il rejoint l'Institut National des Arts Traditionnels et du Théâtre (INATT), dirigé par Meriem Aherdan et placé sous l'égide d'un ministère baroque, en charge à la fois de l'information, du tourisme, de l'artisanat et des beaux-arts. Le travail consiste à sillonner le Maroc pour observer, filmer et rédiger des rapports sur les arts traditionnels - coutumes, danses, artisanat - dans différentes régions du pays. L'INATT est aujourd'hui largement oublié. Est-il permis d'espérer que ses archives, notamment filmiques, survivent quelque part ? Les cartons d'Ahmed Bouanani en conservent quelques traces : des notes de synthèse sur papier à en-tête ; des ébauches d'études sur les tatouages, les contes populaires, les proverbes, les chants et les danses ; et, pour ce qui nous occupe, des carnets de dessins de bijoux traditionnels. »
Omar Berrada
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