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On peut se demander si les premiers spectateurs ont vraiment perçu toute la rage de ce film et son désespoir. Ils admirèrent semble-t-il Le Corbeau comme un drame policier bien mené, s'achevant sur le châtiment du coupable. Ainsi, Lucien Rebatet alias François Vinneuil se félicitait dans Je suis partout d'une action « où l'on ne s'ennuie pas une minute » mais ajoutait que « ce film ne laisserait pas en nous un souvenir bien durable. Pourquoi ? Parce que la facilité de Clouzot frôle la virtuosité et favorise certains épisodes dont on s'aperçoit à la fin qu'ils n'ont ni suite ni justification. » Roger Régent se bornait pour sa part à souligner, dans les Nouveaux Temps, les tracasseries de la censure : « Le Corbeau avec ses défauts, ses outrances, ses passions, son anticléricalisme nous montre le préjudice que peut causer à l'art français de l'écran un organisme dont la libéralité ne dépasse pas Les Malheurs de Sophie. » Raymond Chirat, à propos du Corbeau (Henri-Georges Clouzot, 1943).
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