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Parmi les quelque 700 manuscrits médiévaux que conserve la BNU, La Cité de Dieu tient une place particulière. C'est en effet « le plus beau » manuscrit de notre collection. Ces guillemets sont nécessaires, parce qu'en matière de jugement esthétique, on doit toujours éviter les énoncés fermés. La subjectivité s'oppose naturellement à toute affirmation péremptoire. Il y a bien des beautés différentes et on ne connaît aucune valeur absolue en la matière.Mais alors pourquoi dire « le plus beau »? Parce que certaines caractéristiques objectives de ces deux volumes permettent tout de même d'être affirmatif: l'abondance du décor, sa qualité, la richesse du nuancier des couleurs, la taille et la valeur des grands feuillets de parchemin, l'or et le brillant des enluminures qui courent tout au long de l'oeuvre, et surtout la haute qualité des peintures que l'ouvrage contient. Ce sont en effet deux cycles complémentaires de peintures que recèlent ces deux volumes, et dont les différences de style témoignent chacune à sa manière de l'excellence en art.C'est à une exploration de ces deux remarquables volumes que le lecteur est invité ici, non tant du point de vue de l'oeuvre de Saint Augustin ou de son importance dans la pensée occidentale que de celui du décor, de l'enlumiure et de la peinture en général.
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