"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
Cet ouvrage présente une analyse très originale de la relation entre la dette extérieure et la fuite des capitaux au Cameroun sur la période 1970-2010. Partant des limites de l'approche de cointégration de Johansen, nous adoptons la méthodologie autorégressive à retards échelonnés (ARDL) de cointégration de Pesaran et al. (2001) pour déterminer le lien entre la dette extérieure et la fuite des capitaux. Les données utilisées proviennent de la Caisse Autonome d'Amortissement du Cameroun, du World Development Indicator de la Banque Mondiale et de la base de Boyce et Ndikumana (2012). Nos résultats montrent qu'à court terme, la hausse d'un dollar de la dette extérieure entraine une augmentation de 54 centimes de la fuite des capitaux; une situation qui s'estompe progressivement au fil du temps. Par ailleurs, la fuite des capitaux du Cameroun est causée par l'aide publique au développement, l'ouverture commerciale et la rente provenant des ressources naturelles, en particulier la rente pétrolière.
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