"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
« Le criminel averti est en son genre, un artisan. Alors que le compositeur exalte son génie avec les notes, le peintre avec les couleurs, l'écrivain avec les mots, l'assassin, lui, le pétrit dans la chair humaine. Lisez le Jardin des Supplices, d'Octave Mirbeau : la violence et la souffrance y sont érigées en art. Il faut à peine d'humour pour le regarder ainsi.
Un meurtre parfait est une réussite digne d'éloge. »
Vingt ans après sa première tentative, Christian Chanteau comprend que s'il n'est pas difficile d'écrire un roman, se faire publier par une maison sérieuse est autrement plus ardu. Et, par ses pauvres moyens d'écriture, impossible.
Pourtant il n'en démord pas : son oeuvre sera lue par des millions ! Même si pour cela il doit casser tous les codes... et attirer le lecteur par le sang et la mort, ses tremplins vers le succès. Peu importe s'il en jouit derrière les barreaux...
Mais il n'a pas prévu le plaisir qu'il prend à cette nouvelle formalité. Au point que l'ivresse du meurtre prendra bientôt le dessus sur celle de l'écriture.
Car on peut être mauvais écrivain et bon assassin.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
"On n'est pas dans le futurisme, mais dans un drame bourgeois ou un thriller atmosphérique"
L'auteur se glisse en reporter discret au sein de sa propre famille pour en dresser un portrait d'une humanité forte et fragile
Au Rwanda, l'itinéraire d'une femme entre rêve d'idéal et souvenirs destructeurs
Participez et tentez votre chance pour gagner des livres !