Elle est avocate, le droit du travail est son domaine. Elle défend ceux qui ne comprennent plus ce qu'on attend d'eux. Affolés, incrédules, ils sont licenciés ou malmenés, ils résistent, ils se battent, se contorsionnent pour ne pas chuter. Comme une figure de proue, l'avocate écoute et défend mais, après ses journées de guerrière, elle se faufile dans la grande ville, tente de s'y perdre, de prendre le large, de reconstruire sa légèreté, de convoiter l'oubli des autres et du système. Incisif, d'une implacable justesse, ce roman est éperdument ancré dans une réalité professionnelle mais la fantaisie du personnage autorise le pas de côté nécessaire à l'échappée.
Une avocate nous raconte ses rendez-vous avec ses clients. Ayant avocat et juge dans la famille, je sais que rien n'est exagéré. J'ai retrouvé dans ces descriptions les journées de ceux-ci. C'est bien raconté et jai passé un bon moment de lecture.
Un roman dont le thème de départ sur le droit du travail et les affaires gérées par une avocate qui aurait pu être agréable mais face auquel je me suis beaucoup ennuyée, à tel point que j'ai failli l'abandonner plusieurs fois. L'utilisation de la première personne du pluriel n'y est pas étrangère ainsi que l'impersonnalité voulue par l'auteur quand elle parle des affaires traitées. Beaucoup de digressions aussi qui n'apportent rien au récit.
Avocate spécialisée en droit du travail, Cécile Reyboz nous propose un panel de clients. Leurs problèmes au travail les amènent à rencontrer la narratrice, avocate comme elle.
Celle-ci utilise le « nous » à la place du « je » pour raconter ses rencontres avec eux (ce qui est un peu agaçant)
Sa journée finie, elle devient à son tour cliente, de boutiques, de galeries, de restos, de boites de nuit…..
Régulièrement, elle écrit des brouillons de lettres à un psy pour lui demander de prendre en charge son fils attiré par la violence.
C’est bien sûr inspiré de la vie de l’auteur, mais écrit comme un roman.
C’est d’ailleurs bien écrit.
L’alternance des rendez-vous de clientèle et de la vie privée allège le côté professionnel qui pourrait être un peu pesant.
En tout cas, cette avocate est plutôt sympathique et soucieuse de ses clients au-delà du problème qui les fait se rencontrer.
Un roman qui est une bonne manière d’entrer dans le monde des avocats.
une avocat en droit du travail raconte ses anecdotes quotidiennes avec ses clients, ses confrères au cabinet et au palais.
Ce n'est pas vraiement un roman, plus un receuil d'anecdotes, l'auteur ne nous livre pas grand chose d'autres à part quelques sortie en boîte de nuit pour s'aérer l'esprit.
les anecdotes de sa vie d'avocat font sourire et peuvent vous laisser imaginer un peu en quoi consiste ce métier en droit du travail
Confrère s'abstenir ça vous rappelera trop le boulot
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