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Avec la volonté de rendre hommage à Robert Filliou, qui a créé la Galerie Légitime en 1962, Raphael Cuir a conçu une exposition d'inspiration nomade, facile à transporter : jouant sur les mots, il la conçoit dans un chapeau : du couvre-chef au couvre-chef(s)-d'oeuvre(s).
La première édition a lieu en janvier 1962, Filliou y montre ses oeuvres, puis en juillet 1962 il y expose Benjamin Patterson. Le 22 octobre 1962, lors de la Misfits Fair, la Galerie Légitime se déplace à Londres dans un chapeau melon avec des oeuvres de Robert Filliou, Ben, Emmett Williams, Robin Page, Addi Köpcke, Daniel Spoerri.
Un projet fondé sur deux notions principales : celle d'échelle réduite et celle de nomadisme. À l'heure du gigantisme de l'art contemporain, il s'agit de retrouver de la légèreté avec un peu de profondeur historique. Réaliser une exposition de petits formats qui peut croître facilement (avec plus ou moins de chapeaux par expo), « à l'intérieur de ma casquette, au sommet de ma tête, j'avais de petites oeuvres », dit Filliou. Aujourd'hui, l'idée de l'exposition nomade est reprise par quinze artistes : chacun conçoit spécialement une expo dans un chapeau ; les chapeaux sont tous identiques, seul le contenu change et le mode d'exposition du contenu. Une exposition dont l'échelle réduite la tourne résolument du côté du voyage, de la mobilité, dont elle est l'expression même.
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