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Les collections d'art britannique du musée des Beaux-Arts de Bordeaux, l'un des rares musées de région riche de ce patrimoine, forment un corpus cohérent d'une trentaine de tableaux, dessins, estampes et sculptures. L'occasion de les découvrir au sein d'une exposition inédite (12 novembre 2020-19 septembre 2021), aux côtés de huit chefs-d'oeuvre prêtés exceptionnellement par le musée du Louvre, partenaire de cette Année britannique au musée ! Ce partenariat s'inscrit dans le cadre de la convention triennale signée entre la Ville et le musée du Louvre en 2018.
Une part importante de cette exposition est consacrée à l'art du portrait, domaine dans lequel excellaient les peintres britanniques depuis le XVIe siècle. Les maîtres du genre sont représentés, à commencer par Anton van Dyck qui contribua au renouvellement des codes de l'art du portrait comme en atteste le modello de son Double portrait de Charles-Louis de Simmeren et du prince Rupert de Palatinat, neveux du roi (musée des Beaux-Arts de Bordeaux).
Suivent ensuite Joshua Reynolds, représenté par son célèbre Master Hare (musée du Louvre) et par plusieurs portraits saisissants (dont Richard Robinson, évêque d'Armargh, musée des Beaux-Arts de Bordeaux), mais aussi Allan Ramsay et Gilbert Stuart, auteurs de merveilleux portraits féminins. Ce tour d'horizon du portrait britannique culmine avec celui de John Hunter, par Thomas Lawrence (musée des Beaux-Arts de Bordeaux).
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