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L'origine de l'installation de la France sur les bords du Congo remonte au 10 septembre 1880, quand le chef des Batéké Makoko signe avec Pierre Savorgnan de Brazza un traité qui place son royaume sous la protection de la France et lui cède des terres sur la rive droite du Congo, baptisées Ncouna-Ntamo. Quatre ans plus tard, la Société de géographie et le Comité français de l'Association internationale africaine donnent le nom de Brazzaville à cette nouvelle cité.
Durant la guerre, le choix de Brazzaville comme capital de la France libre et siège de la Conférence africaine française est décisif pour son développement. L'euphorie produite par les crédits de la métropole sera de courte durée, de 1947 à 1953, le temps de mettre en place les grands équipements et l'infrastructure nécessaires à la naissance du jeune État indépendant du Congo.
L'architecture savante, novatrice et exceptionnelle de la « Brazzaville blanche », issue des recherches de la métropole, influence peu à peu l'infraconstruction traditionnelle des « Brazzavilles noires ». Le trait d'union entre ces deux Brazzavilles reste le partage commun d'un immense jardin coloré à l'échelle de la ville, cité-jardin à l'européenne et à l'africaine qui mérite toujours son surnom de « Brazzaville-la-Verte ».
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