Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
Natif de Dax, il a vécu sans racines, au gré des affectations d'un père militaire. A Pau, dernière ville de garnison paternelle en 1976, Philippe Guilbaud s'initie au pyrénéisme et au rocher école d'Arudy, où il s'installe «un peu par hasard, après un ersatz d'étude de marché. Aujourd'hui, je suis d'où je vis.» Arudy, c'est sa porte vers les randonnées : le massif d'Er et le plateau d'Anouilhas encore sauvages, les «classiques lacs d'Ayous», malgré leur constante fréquentation.
L'appareil photo toujours dans le sac, Philippe Guilbaud vit sans se lasser en montagne un «sentiment de premier matin du monde, de pureté». Il s'imprègne de lumières, mesure l'importance de la présence humaine : «C'est ce qui rend la montagne vivante». Il l'arpente dans les années 1990,aux premiers balbutiements des mises aux normes de cabanes :
«J'ai voulu fixer cette histoire-là par les images». Le projet dérive bientôt sur les portraits des bergers, ce côté humain si cher à Philippe Guilbaud.
Il n'y a pas encore de discussion sur ce livre
Soyez le premier à en lancer une !
Des incontournables et des révélations viendront s'ajouter à cette liste au fil des semaines !
A gagner : des exemplaires de cette BD jeunesse sur fond de légendes celtiques !
L'autrice coréenne nous raconte l'histoire de son pays à travers l’opposition et l’attirance de deux jeunes adolescents que tout oppose
Mêlant la folie à l’amour, l’auteur nous offre le portrait saisissant d’une « femme étrange » bousculant les normes binaires de l’identité sexuelle