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Il y a cet homme qui a gardé le réflexe de tendre la main sous la table pour caresser son chien, alors que son chien est mort. Cette femme qui boit du Get 27 pour oublier que son amant ne viendra pas. Ce militant d'extrême droite qui cherche à embrigader le patron de la brasserie. À l'abri des regards, dans la cuisine, il y a le rescapé d'une nuit d'octobre. Et puis il y a l'enfant. L'enfant qu'un adulte accompagnait mais qui est seul à présent devant son verre vide. L'enfant qui attend que l'adulte revienne.
Nous sommes en 1978, dans une brasserie près de la cathédrale de Sens. C'est un instantané de la France et d'une époque. Mais aussi le récit atemporel et poignant de la perte de l'enfance, dans le bourdonnement indifférent de cette ruche française.
Sébastien Rongier fait d'un café une chambre d'échos, où résonnent les voix d'un pays venant tout juste de basculer dans la crise. Avec les guerres mondiales et coloniales, le paysage social se décompose et se recompose. Et les différentes lignes de forces du passé et du présent se croisent toutes, dans ce bar, dressant un portrait à la fois morcelé et puissant du xxe siècle français.
Des petits bouts de vie dans un bar, des conversations volées, une "chambre d'échos" ... cela ressemble un peu à notre quotidien et en même temps cela nous paraît bien éloigné. L'écriture est soignée et cela se laisse lire ... par petits bouts, en plongeant avec indiscrétion dans un sentiment ou un dialogue. Agréable moment.
J’ai aimé un certain nombre de choses dans 78 mais l’ensemble ne m’a pas convaincue.
78, c’est un roman de 140 pages qui se déroule dans une brasserie, celle de Max et où l’on voit de multiples personnages défiler les uns après les autres sous nos yeux de lecteurs mais aussi de spectateurs.
Il ne se passe qu’une seule et unique journée, certainement représentative de la vie en 1978 de manière condensée. J’ai aimé les personnages, peu développés mais représentés sous des traits que l’on peut parfaitement comprendre. Il y a les fachos d’un côté qui veulent absolument avoir le patron du bar de leur côté, ce même patron qui tente tant bien que mal de mettre ses distances pour ne pas se nuire ni causer de problème à celui qu’il recueille dans l’arrière cuisine. Il y a le type bizarre, qui est au bout du bar et qui semble saoul, mais l’est-il vraiment ? Il y a des femmes qui se battent pour leur liberté et d’autres qui se font écraser par le sexe opposé. Un vieillard qui voue une haine à ces dernières. Et puis il y a cet enfant. Il nous intrigue de bout en bout, on se demande ce qu’il fait, pourquoi il est là, seul à essayer de s’occuper malgré ses inquiétudes de plus en plus accrues.
Chacun de ces personnages est une source de curiosité. Ils représentent tous une catégorie sociale de la population, des principes moraux émergeant ou des convictions réactionnaires. J’ai aimé cette diversité car j’ai pu me rapprocher en tant que lectrices de certains, et j’ai pu au contraire en haïr d’autres.
Les deux femmes du bar, Alice et Christelle m’ont beaucoup plu. Elles représentent en quelques sortes l’embryon de l’émancipation des femmes. L’une tient tête à l’homme qui veut l’épouser par souci de simplicité et par devoir, l’autre attend désespérément un homme marié qui, elle le sait, ne viendra jamais. Leur rencontre est formidable, ce sont d’ailleurs quasiment les seules du roman à interagir entre elles et cela provoque une sorte d’explosion dans le tableau que représentaient le livre. On s’habitue à des personnages figés et les voir changer de place provoque presque un sentiment d’incongruité, plutôt plaisant cela dit.
J’ai donc aimé ces deux femmes, mais j’ai haï le groupe d’extrême droite qui cherche à embrigader par tous les moyens Max, le patron du bar. On passe à la table de ces personnes et l’on comprend ce qu’ils cherchent à faire, nous sommes impuissants. L’impuissance, c’est un sentiment qui m’a poursuivi le long de ma lecture. Nous sommes condamnés à errer de table en table, à observer de bons moments (extrêmement rares) comme les mauvais (très nombreux) contre notre gré. On se sent balader par le narrateur comme si l’on nous posait des photos devant les yeux et que nous étions comme obligés d’y faire face.
Outre le groupe politique, il y a le vieillard qui m’a complètement rebutée et même horrifiée. Je me disais qu’il serait certainement sympathique à caresser sa chienne Pupuce sous la table, même si elle était morte, juste comme ça, par habitude. Et bien non. C’est le pire de tous. Ses pensées sont insoutenables, on nous impose des images atroces qui m’ont révoltée. Cet homme est abominable et vulgaire.
La vulgarité, c’est une chose qui m’a vraiment dérangée. Je sais que cela donne un côté vraiment réaliste au roman mais c’est comme si je me sentais visée à chaque fois. « Salope ». Ce mot fuse de tous les côtés. A croire que les hommes de cette époque ne considéraient les femmes que comme des « salopes ». Il y a Max qui relève le niveau heureusement. Néanmoins, les femmes en prennent vraiment un coup dans ce livre et si la fin des années 70 était ainsi, je suis bien contente d’être née presque 20 ans après.
Concernant l’écriture en elle-même, je suis plus que mitigée. Je trouve la forme et la construction du roman très intéressante, très originale. Malheureusement, je n’ai pas réussi à entrer dans le roman avant presque 60 pages, quasiment la moitié du livre. Cette succession de « chapitres » courts est très difficile à appréhender et la narration l’est tout autant au début. J’avoue n’avoir rien compris des premières pages que j’ai lues. Tout est trop succinct, tout est flou. Alors certes, on nous donne l’impression de regarder des polaroïds, une image sans contexte, mais qu’est-ce que c’est perturbant et frustrant quand ça s’applique à un texte.
A l’image de l’enfant du bar, j’ai attendu pendant un bon bout de temps. J’ai attendu que les phrases fassent enfin sens dans mon esprit, que les chapitres s’imbriquent pour former l’histoire de chacun de ces personnages, avoir une vue d’ensemble en définitive. Je ne sais pas si c’est parce que je n’ai pas vécu à cette époque ou si ce genre de roman ne plaît tout simplement pas dans sa forme, mais je n’ai pas eu beaucoup d’intérêt pour ce livre. Je pense que je n’en suis pas du tout la cible.
En définitive, j’ai aimé les personnages lorsque l’on arrive enfin à les saisir, j’ai aimé l’originalité de la structure du récit, mais l’ensemble du roman n’a pas réussi à me séduire.
Chronique du roman :
Le roman 78 de Sébastien Rongier se déroule dans une brasserie. Un homme en sort tandis qu’un enfant reste seul devant une menthe à l’eau. Il attend, observant de temps à autre les gens qui l’entourent.
Dans ce récit, les chapitres sont très courts et ne concernent pas la même personne. On passe tour à tour du couple installé à côté de l’enfant, de l’homme accoudé au bar, du patron etc On y apprend des brides de leur vie, de leur passé, de leur interrogation de l’instant présent dans une France en 1978, après les guerres mondiales et coloniales et tout ce que cela implique.
On débute avec une écriture rapide, saccadée que les phrases courtes accentuent avant de retrouver au fur et à mesure de la lecture, une écriture plus classique.
Cette narration surprend au début, on ne voit pas où l’auteur veut en venir. Il faut laisser le roman s’installer pour comprendre comment se déroulent les chapitres. Le personnage principal reste l’enfant et son abandon.
Plus nous avançons dans la lecture plus nous apprécions cette narration : on virevolte d'un personnage à un autre pour ne prendre que la pensée qui le traverse à cet instant.
Bien que la construction de ce récit est intéressante, l'histoire ne suit pas. On se rend compte assez rapidement que nous n'aurons pas toutes les réponses aux questions que la lecture fait naître.
Une fois le livre terminé, il nous reste l'impression de cette situation que l'on connaît tous, celle que l’on peut rencontrer sur le quai de gare, lorsque l’on surprend une conversation et que nous devons prendre le train en la laissant dernière nous. Ça n’a été qu’un passage dans nos vies…
* * * * *
Explorateur de la rentrée littéraire. Rendez vous de la page 50.
Le résumé de ce livre m'a attirée de suite, j'avais hâte de le commencer.
Maintenant, je suis pressée de le finir. L'histoire tourne autour d'une "disparition" et d'un enfant qui attend, le tout dans une brasserie.
Le livre se lit très rapidement. Chaque chapitre (si on peut les appeler ainsi !) concerne l'instant d'un personnage présent dans la salle. La narration est un peu étrange, saccadée, avec des phrases relativement courtes. J'ai l'impression d'avoir un puzzle et j'espère qu'à la fin, tout s'imbriquera.
ExploLectrice 2015, AU FINAL (avis 3/3) :
À première vue, le damier rétro, les chiffres, la silhouette d’homme se découpant en ombre chinoise, cela évoquerait presque un polar des années soixante-dix – impression confortée par le titre très simple et efficace : 78. Moins flagrante, la silhouette d’un jeune garçon se remarque par la suite et ne fait qu’ajouter à l’atmosphère énigmatique qui plane sur cette première de couverture. Le lecteur n’a qu’une envie : se lancer corps et âme dans l’aventure – la lecture – et percer le mystère.
D’après le pitch, il s’agirait, au travers des destins croisés de quelques personnages, d’une restitution de la France des années 78, réalisée à partir d’un poste d’observation particulier : une brasserie - à l’évocation de laquelle, les couleurs de l’illustration prennent, par ailleurs, tout leur sens.
Dès le début, le ton est donné. L’auteur pose le décor - brasserie enfumée, bières et juke-box.
Des destins se croisent, sans vraiment s’entremêler, laissant poindre une trame à la Anna GAVALDA (Ensemble, c’est tout, La Consolante) - moins édulcorée, toutefois – mettant en scène de pauvres âmes malmenées par l’existence…
La majeure partie de « l’action » se déroule en huis clos et l’attente d’un garçonnet guettant la porte d’entrée ne fait qu’ajouter à l’atmosphère pesante - sans être oppressante - du roman.
Malgré quelques fautes de syntaxe, descriptions maladroites et autres répétitions incongrues, l’écriture de Sébastien RONGIER est réellement agréable à lire ; enrichie, qui plus est, par un vocabulaire dont l’étendue reste assez vaste.
Le lecteur ne peut se départir du sentiment que certaines phrases n’ont été pensées que pour des considérations esthétiques. Si cette esthétique s’avère réelle, un effet « Exercices de style » (Raymond QUENEAU) en découle, au rendu peu naturel - qui n’en est cependant pas déplaisant en soi et ne ternit en rien l’éclat de plusieurs passages magnifiquement écrits, d’une beauté et d’une authenticité saisissantes.
L’auteur nimbe les faits, au moyen de passages rédigés en italique, d’une aura fantasmagorique, peut-être un peu trop abstraite et dérangeante par moments, mais permettant d’établir un parallèle intéressant entre la réalité telle que la vit l’enfant et ce que ce dernier en fait dans son esprit lorsqu’il se déconnecte du monde…
Au premier tiers du roman, une coupure s’opère et le fantastique rejoint enfin la réalité. Le passage en italique prend forme, prend corps et tout devient clair : l’enfant, dans la brasserie, attend et pleure.
Il est presque regrettable que lesdits passages en italique aient perduré après cette rencontre de la chimère et de la réalité.
L’écrivain parvient à instaurer une atmosphère de suspense et imprimer un certain rythme en multipliant les phrases très courtes et parfois sans verbes. Néanmoins, le dosage n’est pas toujours maîtrisé et le résultat en est tout-de-même paradoxalement lent.
La construction du roman apparaît légèrement décousue, avec des passages soudains d’une tranche de vie à l’autre, des sauts erratiques dans la chronologie, des repères géographiques trop subtils (une fois hors du cocon de la brasserie) et l’emploi quasi indifférencié des seconde et troisième personnes du singulier pour désigner l’enfant, ce qui se révèle assez difficile à suivre pour le lecteur.
Pour autant, l’écriture revêt un aspect cinématographique fort plaisant, les descriptions excellemment menées imposant à l’esprit de captivantes visualisations…
Il convient de réserver une mention spéciale pour le passage, dans les dernières pages, sur la carte des souvenirs : un concentré d’images et d’émotions, des réminiscences d’enfance que l’on ne peut que vivre, avec le personnage, à travers cette carte si adroitement dessinée…
En bref : un livre que je suis drôlement heureuse d’avoir découvert et un auteur à suivre.
A première vue (avis 1/3) :
Un damier rétro, deux chiffres, une silhouette d’homme se découpant en ombre chinoise, cela évoquerait presque un polar des années soixante-dix – impression confortée par le titre très simple et efficace : 78. Moins flagrante, la silhouette d’un jeune garçon se remarque par la suite et ne fait qu’ajouter à l’atmosphère énigmatique qui plane sur cette première de couverture. Le lecteur n’a qu’une envie : se lancer corps et âme dans l’aventure – la lecture – et percer le mystère.
D’après le pitch, il s’agirait, au travers des destins croisés de quelques personnages, d’une restitution de la France des années 78, réalisée à partir d’un poste d’observation particulier : une brasserie - à l’évocation de laquelle, les couleurs de l’illustration prennent, par ailleurs, tout leur sens.
La présentation de l’exercice est prometteuse…
Je vous donne rendez-vous à la 50ème page pour un premier avis !
La 50ème page (sur 136) (avis 2/3) :
Dès le début, le ton est donné. L’auteur pose le décor, dans le style polar des années soixante-dix : brasserie enfumée, bières et juke-box.
Des destins se croisent, sans jamais s’entremêler (pour le moment), laissant poindre une trame à la Anna GAVALDA avec de pauvres âmes malmenées par la vie qui, dans la logique des choses, devraient finir par s’entraider pour démêler l’écheveau de leurs existences…
Il s’agit apparemment d’un huis clos et l’attente d’un garçonnet guettant la porte d’entrée ne fait qu’ajouter à l’atmosphère pesante - sans être oppressante - du roman.
Malgré quelques fautes de syntaxe, descriptions maladroites et autres répétitions incongrues, l’écriture de Sébastien RONGIER est, jusqu’à présent, vraiment agréable à lire ; enrichie, qui plus est, par un vocabulaire dont l’étendue reste assez vaste.
Le lecteur ne peut se départir du sentiment que certaines phrases n’ont été pensées que pour des considérations esthétiques. Si cette esthétique s’avère réelle, un effet « Exercices de style » en découle, au rendu peu naturel - qui n’en est toutefois pas déplaisant en soi et ne ternit en rien l’éclat de plusieurs passages magnifiquement écrits, d’une beauté et d’une authenticité saisissantes.
L’auteur nimbe les faits, au moyen de passages rédigés en italique, d’une aura fantasmagorique, peut-être un peu trop abstraite et dérangeante, mais permettant d’établir un parallèle intéressant entre la réalité telle que la vit l’enfant et ce que ce dernier en fait dans son esprit lorsqu’il se déconnecte du monde…
L’écrivain parvient à instaurer une atmosphère de suspense et imprimer un certain rythme en multipliant les phrases très courtes et parfois sans verbes. Néanmoins, le dosage n’est pas toujours maîtrisé et le résultat en est tout-de-même paradoxalement lent.
Si l’histoire s’avère intéressante, le style révèle des irrégularités patentes.
À suivre…
NB : j’ai cessé ma lecture au début de la page 51, ne voulant pas m’arrêter en pleine section. Cependant, la réelle coupure serait plutôt située à la page 39, où le fantastique rejoint enfin la réalité. Le passage en italique prend forme, prend corps et tout devient clair : l’enfant, dans la brasserie, attend et pleure.
Anna GAVALDA : Ensemble, c'est tout. La Consolante.
Raymond QUENEAU : Exercices de style.
Un homme et un enfant sont là, installés sur une banquette d'une brasserie près de la cathédrale de Sens.
L'homme commande une boisson pour chacun d'eux, avale sa bière, téléphone et part... Tournant le dos à tous... Et disparait.
Si je vous parle de ce dos, c'est qu'il en est souvent question tout le long du roman.
Pendant ce temps, plusieurs protagonistes assistent à la scène, avec plus ou moins d'intérêt.
Ce roman ou plutôt cette nouvelle, c'est un condensé de très courts instants de vie, mis bout à bout. Par quelques mots, quelques phrases, souvent nominales.
Certains protagonistes ont partagé beaucoup de choses ensemble, d'autres se côtoient pour la première fois.
Il y a les habitués et les gens de passages.
L'atmosphère est assez mélancolique, fin des années 70 ( 78, pour être précis, d'où le titre). Avec Johnny Cash, Claude François et les autres, en musique de fond.
C'est l'après guerres mondiales et coloniales, dans un paysage social qui bascule vers la crise et l'émergence du front national.
Un roman agréable à découvrir, malgré le fait qu'il m'a fallu reprendre des passages à plusieurs reprises, afin de bien les comprendre et de ne pas m'emmêler les pinceaux entre les personnages, tant la succession de l'un à l'autre est soudain. Un temps d'adaptation m'a été nécessaire pour me faire à ce découpage particulier.
Un homme et un enfant sont là, installés sur une banquette d'une brasserie près de la cathédrale de Sens.
L'homme commande une boisson pour chacun d'eux, avale sa bière, téléphone et part... Tournant le dos à tous... Et disparait.
Si je vous parle de ce dos, c'est qu'il en est souvent question tout le long du roman.
Pendant ce temps, plusieurs protagonistes assistent à la scène, avec plus ou moins d'intérêt.
Ce roman ou plutôt cette nouvelle, c'est un condensé de très courts instants de vie, mis bout à bout. Par quelques mots, quelques phrases, souvent nominales.
Certains protagonistes ont partagé beaucoup de choses ensemble, d'autres se côtoient pour la première fois.
Il y a les habitués et les gens de passages.
L'atmosphère est assez mélancolique, fin des années 70 ( 78, pour être précis, d'où le titre). Avec Johnny Cash, Claude François et les autres, en musique de fond.
C'est l'après guerres mondiales et coloniales, dans un paysage social qui bascule vers la crise et l'émergence du front national.
Un roman agréable à découvrir, malgré le fait qu'il m'a fallu reprendre des passages à plusieurs reprises, afin de bien les comprendre et de ne pas m'emmêler les pinceaux entre les personnages, tant la succession de l'un à l'autre est soudain. Un temps d'adaptation m'a été nécessaire pour me faire à ce découpage particulier.
Le ressenti de la 50ème page - Exploration de la rentrée littéraire
Petit roman de Sébastien Rongier, au titre qui m'inspire pas mal, puisqu'il s'agit de mon année de naissance ! Mais bon, mis à part que ce soit aussi l'année de la mort de Claude François et de sa chanson "Alexandrie, Alexandra" ( ceux qui me connaissent le mieux comprendront), on ne peut pas dire que je me souvienne de grand chose...
50 pages où le décor est planté, où nous faisons connaissance, par petite touche, des protagonistes de l'histoire,où les chapitres( enfin plutôt de très courts instants de vie) sont nombreux. Tout se dessine progressivement.
J'ai encore un peu de mal à me faire à ce style de narration, mais tout cela attise ma curiosité de continuer sans tarder. À bientôt !
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