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REPONSE à L’ACCROCHE DE KRYAN.
Assise sur un banc public, je ferme les yeux en pensant à la triste vie des SDF qui s’allongent sur ces bancs publics par tous les temps. Ils dorment encore et toujours dans la rue, même en hiver. Un vieillard aux cheveux et à la barbe blanches, apparait dans mon esprit ; c’est Victor Hugo. Il me dit : ce sont LES MISERABLES. (M) « Le soleil s’était couché. L’ombre se faisait autour de Jean Valjean. Il n’avait pas mangé de la journée ; il est probable qu’il avait la fièvre. Il claquait des dents, tremblait, grelottait et suait à la fois Au bout de quelques minutes, il se leva du banc convulsivement puis ses jarrets fléchirent brusquement sous lui comme si une puissance invisible le mettait soudainement à genoux, et il cria : - Je suis un misérable ! »
(M) Extrait du roman revu et corrigé pour coller à l’accroche.
Merci Cymone d’évoquer cette triste réalité du monde des exclus, et des victimes comme le soulignait ClocloSF au sujet de l’Ukraine et des guerres d’hommes sordides.
Réponse à la proposition de Kryan :
Citation :
“Lorsque j’essaie de dessiner quelque chose, une chaise par exemple, cela a toujours une expressivité. Je ne peux rien y faire.” Gérard Hoffnung musicien et dessinateur allemand..
Voilà une phrase que pourrait avoir prononcé le concepteur de ce banc. Un banc pour rire ressemblant à un toboggan ou bien transformable selon l’humeur du temps pour y faire une bonne sieste puis regarder les hirondelles qui passent dans le ciel, un fauteuil propice à de douces rêveries où l’on pourrait écrire tout ce qui nous passe par la tête du plus farfelu au plus grave (à la mémoire d’Hoffnung par exemple).. Écrire puis écrire sans compter pour se venger de ne pouvoir compter les pages du banc (surtout quand on est assis sur le dit banc !)
Réponse à la proposition de Kryan :
Citation :
“Lorsque j’essaie de dessiner quelque chose, une chaise par exemple, cela a toujours une expressivité. Je ne peux rien y faire.” Gérard Hoffnung musicien et dessinateur allemand..
Voilà une phrase que pourrait avoir prononcé le concepteur de ce banc. Un banc pour rire ressemblant à un toboggan ou bien transformable selon l’humeur du temps pour y faire une bonne sieste puis regarder les hirondelles qui passent dans le ciel, un fauteuil propice à de douces rêveries où l’on pourrait écrire tout ce qui nous passe par la tête du plus farfelu au plus grave (à la mémoire d’Hoffnung par exemple).. Écrire puis écrire sans compter pour se venger de ne pouvoir compter les pages du banc (surtout quand on est assis sur le dit banc !)
Oui Cloclo, un banc qui donne l'inspiration et évite de rendre une page blanche ! Kryan a inventé-là un nouveau concept pour les "Ecrivants" et les Ecrivain(es)
Merci Cymone d’évoquer cette triste réalité du monde des exclus, et des victimes comme le soulignait ClocloSF au sujet de l’Ukraine et des guerres d’hommes sordides.
Réponse à la proposition de Kryan :
Citation :
“Lorsque j’essaie de dessiner quelque chose, une chaise par exemple, cela a toujours une expressivité. Je ne peux rien y faire.” Gérard Hoffnung musicien et dessinateur allemand..
Voilà une phrase que pourrait avoir prononcé le concepteur de ce banc. Un banc pour rire ressemblant à un toboggan ou bien transformable selon l’humeur du temps pour y faire une bonne sieste puis regarder les hirondelles qui passent dans le ciel, un fauteuil propice à
de douces rêveries où l’on pourrait écrire tout ce qui nous passe par la tête du plus farfelu au plus grave (à la mémoire d’Hoffnung par exemple).. Écrire puis écrire sans compter pour se venger de ne pouvoir compter les pages du banc (surtout quand on est assis sur le dit banc !)
Oui Cloclo, un banc qui donne l'inspiration et évite de rendre une page blanche ! Kryan a inventé-là un nouveau concept pour les "Ecrivants" et les Ecrivain(es)
Merci beaucoup mais c'est vous les inventeurs et les inventrices vos textes sont tellement super !
De gré à gré se défont les guerres,
Laissant les ruines et la misère.
Les sangs, les crimes mêlés,
Ornent les bancs des accusés.
Bon gré malgré, se font les guerres,
Fixant nos laisses à nos tanières,
Chaire à canon, facile à tuer,
Bancs de poissons exécutés.
Au gré du temps, l’homme fait sa guerre,
Vengeant ses ruines et sa misère,
De son sang jamais séché,
Bancs de requins jamais lassés.
Quel beau poème digne d’un grand auteur.
On y trouve réalisme et grande profondeur
Les termes vous atteignent en plein cœur
On y ressent comme une profonde douleur
Quel beau poème digne d’un grand auteur.
On y trouve réalisme et grande profondeur
Les termes vous atteignent en plein cœur
On y ressent comme une profonde douleur
Comme c’est gentil, je suis flatté.
J’avoue aussi, vous m’inspirez.
Je viens ici, te remercier.
Messages : 315
Le 14/01/2024 à 13h49
Assise sur un banc public, je ferme les yeux en pensant à la triste vie des SDF qui s’allongent sur ces bancs publics par tous les temps. Ils dorment encore et toujours dans la rue, même en hiver. Un vieillard aux cheveux et à la barbe blanches, apparait dans mon esprit ; c’est Victor Hugo. Il me dit : ce sont LES MISERABLES. (M) « Le soleil s’était couché. L’ombre se faisait autour de Jean Valjean. Il n’avait pas mangé de la journée ; il est probable qu’il avait la fièvre. Il claquait des dents, tremblait, grelottait et suait à la fois Au bout de quelques minutes, il se leva du banc convulsivement puis ses jarrets fléchirent brusquement sous lui comme si une puissance invisible le mettait soudainement à genoux, et il cria : - Je suis un misérable ! »
(M) Extrait du roman revu et corrigé pour coller à l’accroche.
Merci Cymone d’évoquer cette triste réalité du monde des exclus, et des victimes comme le soulignait ClocloSF au sujet de l’Ukraine et des guerres d’hommes sordides.
Messages : 124
Le 14/01/2024 à 18h39
Citation :
“Lorsque j’essaie de dessiner quelque chose, une chaise par exemple, cela a toujours une expressivité. Je ne peux rien y faire.” Gérard Hoffnung musicien et dessinateur allemand..
Voilà une phrase que pourrait avoir prononcé le concepteur de ce banc. Un banc pour rire ressemblant à un toboggan ou bien transformable selon l’humeur du temps pour y faire une bonne sieste puis regarder les hirondelles qui passent dans le ciel, un fauteuil propice à de douces rêveries où l’on pourrait écrire tout ce qui nous passe par la tête du plus farfelu au plus grave (à la mémoire d’Hoffnung par exemple).. Écrire puis écrire sans compter pour se venger de ne pouvoir compter les pages du banc (surtout quand on est assis sur le dit banc !)
Messages : 654
Le 15/01/2024 à 05h42
Citation :
“Lorsque j’essaie de dessiner quelque chose, une chaise par exemple, cela a toujours une expressivité. Je ne peux rien y faire.” Gérard Hoffnung musicien et dessinateur allemand..
Voilà une phrase que pourrait avoir prononcé le concepteur de ce banc. Un banc pour rire ressemblant à un toboggan ou bien transformable selon l’humeur du temps pour y faire une bonne sieste puis regarder les hirondelles qui passent dans le ciel, un fauteuil propice à de douces rêveries où l’on pourrait écrire tout ce qui nous passe par la tête du plus farfelu au plus grave (à la mémoire d’Hoffnung par exemple).. Écrire puis écrire sans compter pour se venger de ne pouvoir compter les pages du banc (surtout quand on est assis sur le dit banc !)
Oui Cloclo, un banc qui donne l'inspiration et évite de rendre une page blanche ! Kryan a inventé-là un nouveau concept pour les "Ecrivants" et les Ecrivain(es)
Messages : 2082
Le 15/01/2024 à 06h56
Tout à fait !
Messages : 2082
Le 15/01/2024 à 06h56
Citation :
“Lorsque j’essaie de dessiner quelque chose, une chaise par exemple, cela a toujours une expressivité. Je ne peux rien y faire.” Gérard Hoffnung musicien et dessinateur allemand..
Voilà une phrase que pourrait avoir prononcé le concepteur de ce banc. Un banc pour rire ressemblant à un toboggan ou bien transformable selon l’humeur du temps pour y faire une bonne sieste puis regarder les hirondelles qui passent dans le ciel, un fauteuil propice à
de douces rêveries où l’on pourrait écrire tout ce qui nous passe par la tête du plus farfelu au plus grave (à la mémoire d’Hoffnung par exemple).. Écrire puis écrire sans compter pour se venger de ne pouvoir compter les pages du banc (surtout quand on est assis sur le dit banc !)
Merci beaucoup pour ce texte Claude !
Messages : 2082
Le 15/01/2024 à 06h57
Merci beaucoup mais c'est vous les inventeurs et les inventrices vos textes sont tellement super !
Messages : 124
Le 15/01/2024 à 16h42
Mais les tiens aussi et de plus tu trouves toujours des images inspirantes. Bravo et bises ! Cl.
Messages : 315
Le 15/01/2024 à 18h25
Laissant les ruines et la misère.
Les sangs, les crimes mêlés,
Ornent les bancs des accusés.
Bon gré malgré, se font les guerres,
Fixant nos laisses à nos tanières,
Chaire à canon, facile à tuer,
Bancs de poissons exécutés.
Au gré du temps, l’homme fait sa guerre,
Vengeant ses ruines et sa misère,
De son sang jamais séché,
Bancs de requins jamais lassés.
Messages : 654
Le 16/01/2024 à 06h19
Laissant les ruines et la misère.
Les sangs, les crimes mêlés,
Ornent les bancs des accusés.
Bon gré malgré, se font les guerres,
Fixant nos laisses à nos tanières,
Chaire à canon, facile à tuer,
Bancs de poissons exécutés.
Au gré du temps, l’homme fait sa guerre,
Vengeant ses ruines et sa misère,
De son sang jamais séché,
Bancs de requins jamais lassés.
Quel beau poème digne d’un grand auteur.
On y trouve réalisme et grande profondeur
Les termes vous atteignent en plein cœur
On y ressent comme une profonde douleur
Messages : 315
Le 16/01/2024 à 07h27
On y trouve réalisme et grande profondeur
Les termes vous atteignent en plein cœur
On y ressent comme une profonde douleur
Comme c’est gentil, je suis flatté.
J’avoue aussi, vous m’inspirez.
Je viens ici, te remercier.