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Stephane Levallois

Stephane Levallois
Dessinateur virtuose, Stéphane Levallois a été sollicité dans de nombreux domaines et a voulu tout essayer. Il fut élève à l'École supérieure d'arts graphiques Penninghen, où il eut parmi ses professeurs l'affichiste polonais Roman Cieslewicz. Premier de sa promotion, il donnera ensui... Voir plus
Dessinateur virtuose, Stéphane Levallois a été sollicité dans de nombreux domaines et a voulu tout essayer. Il fut élève à l'École supérieure d'arts graphiques Penninghen, où il eut parmi ses professeurs l'affichiste polonais Roman Cieslewicz. Premier de sa promotion, il donnera ensuite des cours de croquis. On retrouve dans ses dessins les lignes intenses et torturées caractéristiques du peintre viennois Egon Schiele, qui l'a beaucoup influencé. Après avoir travaillé dans la conception de jeux vidéo, Stéphane réalise des courts métrages et des films publicitaires. A la foix concept artist et designer chez MPC pour les films Harry Potter 7 et 8 : Les Reliques de la mort, Hulk 2, Pirates des caraïbes 4, Narnia 3, La Colère des Titans, Blanche-Neige et le chasseur, Prometheus, Man of Steel, Edge of Tomorrow, X Men : Days of Future Past, Les Gardiens de la Galaxie, il dessine également pour le monde du luxe : Vuitton, Dior, Cartier, Château Magraux, Van Cleef & Arpels, Lacoste, Hugo Boss, Jean Paul Gaultier, Prada, Longines, Lancôme. Il a été designer sur le film publicitaire L'Odyssée de Cartier réalisé par Bruno Aveillan. Il conçoit des toys de collection pour Artoyz originals et vient de dessiner des timbres - sur Vienne - pour la collection "Capitales européennes" de La Poste, ainsi que pour le 70e anniversaire du 8 mai 1945. Stéphane Levallois expose régulièrement à la galerie Arludik à Paris.

Avis sur cet auteur (2)

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    Couverture du livre « Les disparues d'Orsay » de Stephane Levallois aux éditions Futuropolis

    Pascal TOURRES sur Les disparues d'Orsay de Stephane Levallois

    Une balade fantasmagorique dans le Musée d’Orsay, ses œuvres, ses artistes, … et les muses des œuvres … qui disparaissent. C’est fantasmagorique, poétique, farfelu, truffé de références, …

    Cette enquête pour retrouver les muses disparues des œuvres (qui perdent ainsi tout intérêt) redonne...
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    Une balade fantasmagorique dans le Musée d’Orsay, ses œuvres, ses artistes, … et les muses des œuvres … qui disparaissent. C’est fantasmagorique, poétique, farfelu, truffé de références, …

    Cette enquête pour retrouver les muses disparues des œuvres (qui perdent ainsi tout intérêt) redonne une place aux artistes, poétes et même des philosophes ... ; avec notamment Toulouse Lautrec, Dante, ... et particulièrement un poète du XIX ème siècle qui (attention énigme « divugacheuse" ) … a été mis à l’honneur en 2024 dans la pléiade de Gallimard.

    Un petit bijou avec des qualités graphiques et des colorisations qui n’ont rien à envier à certaines œuvres du musée. La couverture est un amuse-bouche qui nous fait dilater les pupilles pour mieux voir l’intérieur.

    Inventivité, créativité, maitrise graphique, … que demander de plus !

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    Couverture du livre « Léonard 2 Vinci » de Stephane Levallois aux éditions Futuropolis

    bulle.noire sur Léonard 2 Vinci de Stephane Levallois

    Un space opéra en BD ! Un projet ambitieux qualifié ainsi par Stéphane Levallois lui-même. Il s’est permis de transposer les inventions et les dessins visionnaires de Léonard de Vinci dans la science-fiction. Ça paraît fou mais on ne peut qu’être impressionné et admiratif du résultat graphique....
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    Un space opéra en BD ! Un projet ambitieux qualifié ainsi par Stéphane Levallois lui-même. Il s’est permis de transposer les inventions et les dessins visionnaires de Léonard de Vinci dans la science-fiction. Ça paraît fou mais on ne peut qu’être impressionné et admiratif du résultat graphique. C’est incroyablement beau, et grâce au cahier final, on comprend mieux le talent de Stéphane Levallois qui a su intégrer différentes œuvres du génie à son histoire.
    Il faut donc se laisser porter dans ce projet ou dans un futur lointain, c’est le propre clone de Vinci, un Léonard 2.0, qui revient sur le passé de son glorieux « ancêtre », afin de trouver les armes qui permettront à l’humanité de vaincre l’envahisseur extra-terrestre…
    Pas une évidence dit comme ça mais la virtuosité de Stéphane Levallois nous embarque sans peine et même si ça semble parfois un peu atypique, on ressort soufflé par le talent de l’auteur et envahi par l’idée que la BD a encore des terrains à conquérir.

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