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Hélène Grimaud fait partie de ces êtres singuliers, aux parcours qui ne le sont pas moins.
On est bien au-delà d’un biographie présentant son parcours (repérée toute jeune elle va « monter à Paris » et marquer son passage au conservatoire – reçue première à 13 ans ; elle devient rapidement une pianiste renommée – grand prix de l’académie du disque à 15 ans - avec une attirance assez marquée pour les compositeurs romantiques ; mais elle va aussi créer un centre de protection des loups sur la cote est des Etats Unis et récemment un engagement dans la défense des poneys (sur la Côte Ouest) trouvant des racines pour son attirance des chevaux camarguais lorsqu’elle allait en Camargue avec ses parents. Des engagements multiples et une façon de se livrer dans les concerts qui illustrent l’idée de la renaissance : « ce n’est pas encore assez d’être né : il importe de se remettre au monde et de l’aimer. ».
Les « entretiens » avec Stéphane Narsacq peuvent apparaitre très « écrits » avec une richesse des développements de la pensée, des arguments et des trajectoires biographiques, illustrés de nombreuses citations et références. On prend plaisir et intérêt à cette lecture qui n’est rien moins qu’une conversation philosophique sur la vie, le rapport à la nature, la liberté, l’amour des proches, la musique, les particularités de l’interprète, le concept de «répétition », …
Un rare plaisir de lecture intelligente et de proximité avec la belle Hélène.
Volodia, jeune prof, écrit, sous la houlette d’Anténor, sont directeur de thèse, un ouvrage sur l’éducation des jeunes filles.
Pourquoi le piano ? Parce que ses deux premiers amours sont pianistes.
Volodia semble en proie au doute, à la lassitude, plus amoureux de l’amour qu’amoureux des femmes. Il intellectualise ses relations dans des conversations longues, trop longues avec sobn ami Julien et d’autres personnages intellos branchés
Oui, je me suis ennuyée à la lecture de ce livre. Je n’ai rien trouvé à quoi me raccrocher. La même impression de nombrilisme élitiste parisien que dans « la jouissance » de Florian Zeller. Je me suis arrêtée en cours de lecture.
Un premier roman qui ne m’a pas emballé du tout. Je pense que ce livre trouvera ses lecteurs.
Volodia est professeur de littérature. Pour combler une vie plutôt plate, il se lance dans la rédaction d'un ouvrage sur l'éducation des jeunes filles, soutenu par Anténor son directeur de thèse et Hérode, un écrivain aussi flamboyant que grossier.
Entouré de son ami Julien et d'Alexeï, une connaissance plutôt mystique, il nourrit sa thèse de ses propres expériences amoureuses.
Le hasard fait qu'il tombe amoureux de deux pianistes aux personnalités bien distinctes. Nous avons tout d'abord Sonia, une fille extravertie, portée sur le sarcasme et le sexe. Cette relation choc s'avère malheureusement illusoire et blessante pour Volodia. Nous avons ensuite Sophie, l'inaccessible, la perfectionniste, la fascinante, celle qui élève la musique et l'amour au sommet de l'art.
Comment le piano, instrument d'éducation commun au deux jeunes filles, peut-il révéler deux personnes et deux amours si différents ?
Personnellement, je me suis profondément ennuyée à la lecture. J'ai failli tout arrêter arrivée au tiers du livre et au deux tiers, j'ai lu en diagonale jusqu'à la fin. Je n'ai pas du tout été captivée par cette quête de l'amour de Volodia. Les personnages n'ont pour moi aucun charisme et les discussions entre Volodia et Anténor ou Hérode sont trop intellectualisées pour m'intéresser. Bref, j'ai été très déçue. Tant pis pour moi. J'espère que ce livre trouvera cependant son public mais ne comptez pas sur moi pour le recommander.
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